Five years ago, I was on a sabbatical, and I returned to the medical university where I studied. I saw real patients and I wore the white coat for the first time in 17 years, in fact since I became a management consultant.
Il y a cinq ans, j'étais en congé sabbatique et je suis retourné à la faculté de médecine où j'avais étudié. J'ai vu de vrais patients et je portais le sarrau blanc pour la première fois depuis 17 ans, en fait depuis que je suis devenu un consultant en gestion.
There were two things that surprised me during the month I spent. The first one was that the common theme of the discussions we had were hospital budgets and cost-cutting, and the second thing, which really bothered me, actually, was that several of the colleagues I met, former friends from medical school, who I knew to be some of the smartest, most motivated, engaged and passionate people I'd ever met, many of them had turned cynical, disengaged, or had distanced themselves from hospital management. So with this focus on cost-cutting, I asked myself, are we forgetting the patient?
Deux choses m'ont étonné pendant ce mois. La première c'est que le thème commun de nos discussions concernait les budgets d'hôpitaux et la réduction des coûts, et la deuxième chose qui m'a vraiment ennuyé c' était en fait que plusieurs des collègues que j'ai rencontrés, des anciens amis de la faculté de médecine que je savais être des plus brillants des plus motivés, des personnes des plus engagées et passionnées que j'ai connues, plusieurs d'entre eux étaient devenus cyniques, désintéressés ou avaient pris leur distance vis à vis la gestion des hôpitaux. Ainsi, avec cet emphase sur la réduction des coûts Je me suis demandé : sommes-nous en train d'oublier le patient?
Many countries that you represent and where I come from struggle with the cost of healthcare. It's a big part of the national budgets. And many different reforms aim at holding back this growth. In some countries, we have long waiting times for patients for surgery. In other countries, new drugs are not being reimbursed, and therefore don't reach patients. In several countries, doctors and nurses are the targets, to some extent, for the governments. After all, the costly decisions in health care are taken by doctors and nurses. You choose an expensive lab test, you choose to operate on an old and frail patient. So, by limiting the degrees of freedom of physicians, this is a way to hold costs down. And ultimately, some physicians will say today that they don't have the full liberty to make the choices they think are right for their patients. So no wonder that some of my old colleagues are frustrated.
Plusieurs pays que vous représentez et celui d'où je viens éprouvent des difficultés avec les coûts dans le système de santé. C'est une partie importante des budgets du pays. Et plusieurs réformes différentes visent à freiner cette croissance. Dans certains pays, il y a de longs délais pour les patients en attente d'une chirurgie. Dans d'autres pays, de nouveaux médicaments ne sont pas remboursés, et par conséquent, les patients n'y ont pas accès. Dans plusieurs pays, les médecins et les infirmières sont des cibles à un certain degré, pour les gouvernements. Après tout, les décisons coûteuses du système de santé sont prises par les médecins et les infirmières. Vous choisissez un test de laboratoire dispendieux vous choisissez d'opérer un patient qui est agé et faible. Donc, en limitant les degrés de liberté des médecins, c'est une façon de réduire les coûts . Et ultimement, certains médecins diront aujourd'hui qu'ils n'ont pas la pleine liberté de faire les choix qu'ils jugent appropriés pour leurs patients. Donc, il ne faut pas s'étonner que certains de mes anciens collègues soient frustrés.
At BCG, we looked at this, and we asked ourselves, this can't be the right way of managing healthcare. And so we took a step back and we said, "What is it that we are trying to achieve?" Ultimately, in the healthcare system, we're aiming at improving health for the patients, and we need to do so at a limited, or affordable, cost. We call this value-based healthcare. On the screen behind me, you see what we mean by value: outcomes that matter to patients relative to the money we spend. This was described beautifully in a book in 2006 by Michael Porter and Elizabeth Teisberg.
At BCG, nous avons examiné cette question et on s'est demandé, cette façon ne peut être la bonne façon de gérer le système de santé. Nous avons donc pris du recul et nous avons dit, « Qu'est-ce que nous essayons d'accomplir? » Ultimement, dans le système de santé nous visons à améliorer la santé des patients, et nous devons le faire à un prix limité ou raisonnable. Nous appelons ce système de santé basé sur les valeurs. Sur l'écran derrière moi, vous voyez ce qu'on entend par valeur: les résultats qui sont importants pour les patients selon l'argent que nous dépensons. Ceci a été décrit de belle manière en 2006 dans un livre de Michael Porter et Elizabeth Teisberg,
On this picture, you have my father-in-law surrounded by his three beautiful daughters. When we started doing our research at BCG, we decided not to look so much at the costs, but to look at the quality instead, and in the research, one of the things that fascinated us was the variation we saw. You compare hospitals in a country, you'll find some that are extremely good, but you'll find a large number that are vastly much worse. The differences were dramatic. Erik, my father-in-law, he suffers from prostate cancer, and he probably needs surgery. Now living in Europe, he can choose to go to Germany that has a well-reputed healthcare system. If he goes there and goes to the average hospital, he will have the risk of becoming incontinent by about 50 percent, so he would have to start wearing diapers again. You flip a coin. Fifty percent risk. That's quite a lot. If he instead would go to Hamburg, and to a clinic called the Martini-Klinik, the risk would be only one in 20. Either you a flip a coin, or you have a one in 20 risk. That's a huge difference, a seven-fold difference. When we look at many hospitals for many different diseases, we see these huge differences.
Sur cette photographie, il y a mon beau-père entouré de ses trois charmantes filles, Lorsque nous avons débuté notre recherche à BCG, nous avons décidé de ne pas tant regarder les coûts mais de regarder plutôt la qualité, et dans la recherche, un des éléments qui nous a fasciné, c'est la variation que nous avons constatée. Vous comparez des hôpitaux dans un pays vous en trouverez qui sont extrêmement bons mais vous en trouverez un nombre important qui sont considérablement pires. Les différences sont dramatiques. Erik, mon beau-père il souffre du cancer de la prostate, et il a probablement besoin d'une chirurgie. Maintenant qu'il vit en Europe, il peut choisir d'aller en Allemagne qui a un système de santé bien reconnu. S'il va là et va dans un hôpital ordinaire, le risque de devenir incontinent sera approximativement de 50 pour-cent, alors il devra recommencer à porter des couches, Tirez à pile ou face. Cinquante pour-cent de risque. C'est beaucoup. S'il va plutôt à Hambourg, dans une clinique qui s'appelle Martini-Klink, le risque serait de seulement un sur 20 Ou vous tirez à pile ou face, ou vous avez un risque de un sur 20. C'est une différence énorme, sept fois plus. Quand on examine plusieurs hôpitaux pour plusieurs maladies différentes, nous observons ces énormes différences
But you and I don't know. We don't have the data. And often, the data actually doesn't exist. Nobody knows. So going the hospital is a lottery.
Mais vous et moi l'ignorons. Nous n'avons pas les données. Et souvent en fait, les données n'existent pas. Personne ne le sait. Donc, aller à l'hôpital, c'est une loterie.
Now, it doesn't have to be that way. There is hope. In the late '70s, there were a group of Swedish orthopedic surgeons who met at their annual meeting, and they were discussing the different procedures they used to operate hip surgery. To the left of this slide, you see a variety of metal pieces, artificial hips that you would use for somebody who needs a new hip. They all realized they had their individual way of operating. They all argued that, "My technique is the best," but none of them actually knew, and they admitted that. So they said, "We probably need to measure quality so we know and can learn from what's best." So they in fact spent two years debating, "So what is quality in hip surgery?" "Oh, we should measure this." "No, we should measure that." And they finally agreed. And once they had agreed, they started measuring, and started sharing the data. Very quickly, they found that if you put cement in the bone of the patient before you put the metal shaft in, it actually lasted a lot longer, and most patients would never have to be re-operated on in their lifetime. They published the data, and it actually transformed clinical practice in the country. Everybody saw this makes a lot of sense. Since then, they publish every year. Once a year, they publish the league table: who's best, who's at the bottom? And they visit each other to try to learn, so a continuous cycle of improvement. For many years, Swedish hip surgeons had the best results in the world, at least for those who actually were measuring, and many were not.
Maintenant, il n'est pas nécessaire que les choses se passent ainsi. Il y a de l'espoir. À la fin des années 70, il y a un groupe de chirurgiens orthopédiques suédois qui se rencontrés à leur assemblée annuelle et ils discutaient des différentes procédures qu'ils utilisaient pour la chirurgie de la hanche. À gauche de la diapositive, vous voyez une variété de pièces métalliques, de hanches artificielles que vous utiliseriez pour quelqu'un qui a besoin d'une nouvelle hanche. Ils ont tous réalisé qu'ils avaient leur façon particulière d'opérer. Ils ont tous fait valoir que: « Ma technique est la meilleure » mais aucun d'entre eux ne le savait réellement et ça ils l'ont avoué. Alors ils ont dit: « Nous devons probablement mesurer la qualité pour savoir et pourons tirer des leçons des meilleures pratiques. » Ils ont donc discuté pendant 2 ans, « Donc, qu'est-ce-qu'est la qualité dans une chirurgie de la hanche? » « Oh, nous devrions mesurer ceci. » « Non, nous devrions mesurer cela. » Et ils se sont finalement mis d'accord. Et lorsqu'ils se sont mis d'accord, ils ont commencé à mesurer et commencé à partager les données. Très rapidement, ils ont découvert que si on appliquait du ciment dans l'os du patient avant d'insérer la tête métallique, sa durée de vie était en fait plus longue, et la plupart des patients n'aurait pas à être réopéré de leur vie. Ils ont publié les données et ceci a vraiment transformé les pratiques cliniques au pays. Tous étaient d'avis que c'était logique. Depuis, il publient chaque année. Une fois l'an, ils publient le classement des meilleures pratiques: qui est le meilleur, qui est au bas de l'échelle ? Et ils se visitent de temps à autre pour essayer d'apprendre, donc un cycle continu d'amélioration. Pendant plusieurs années, des chirurgiens suédois de la hanche avaient les meilleurs résultats au monde, du moins pour ceux qui mesuraient vraiment, et plusieurs ne le faisaient pas.
Now I found this principle really exciting. So the physicians get together, they agree on what quality is, they start measuring, they share the data, they find who's best, and they learn from it. Continuous improvement.
Maintenant, j'ai trouvé ce principe vraiment passionnant Les médecins se réunissent donc, ils se mettent d'accord sur ce qu'ils entendent par qualité ils commencent à mesurer, ils partagent les données, ils trouvent qui est le meilleur et en tirent des enseignements. Amélioration continue.
Now, that's not the only exciting part. That's exciting in itself. But if you bring back the cost side of the equation, and look at that, it turns out, those who have focused on quality, they actually also have the lowest costs, although that's not been the purpose in the first place. So if you look at the hip surgery story again, there was a study done a couple years ago where they compared the U.S. and Sweden. They looked at how many patients have needed to be re-operated on seven years after the first surgery. In the United States, the number was three times higher than in Sweden. So many unnecessary surgeries, and so much unnecessary suffering for all the patients who were operated on in that seven year period. Now, you can imagine how much savings there would be for society.
Maintenant, ceci n'est pas la seule partie excitante. C'est passionnant en soi. Mais si vous ramenez le composante coût de l'équation, et vous l'examinez, il s'avère que ceux qui se sont concentrés sur la qualité, ont en fait aussi les coûts les plus bas, bien que ce n'était pas l'objectif au départ. Alors si vous regardez l'histoire de la chirurgie de la hanche de nouveau, il y a eu une étude réalisée il y a quelques années où on a comparé les États-Unis et la Suède. Ils ont étudié combien de patients devaient être réopérés sept ans après la première chirurgie. Aux États-Unis, c'était trois fois plus élevé qu'en Suède. Donc, plusieurs chirurgies inutiles et tant de souffrance inutile pour tous les patients qui ont subi une chirurgie pendant cette période de sept ans. Maintenant vous pouvez vous imaginer combien d'économies ceci représente pour la société.
We did a study where we looked at OECD data. OECD does, every so often, look at quality of care where they can find the data across the member countries. The United States has, for many diseases, actually a quality which is below the average in OECD. Now, if the American healthcare system would focus a lot more on measuring quality, and raise quality just to the level of average OECD, it would save the American people 500 billion U.S. dollars a year. That's 20 percent of the budget, of the healthcare budget of the country.
Nous avons fait une étude en regardant les données de l'OCDE. OCDE se penche de temps à autre sur la qualité des soins quand ils peuvent trouver les données dans les pays membres. Les États-Unis ont en fait pour plusieurs maladies une qualité qui est inférieure à la moyenne de l'OCDE. Maintenant, si le système de santé américain mettait beaucoup plus d'emphase à mesurer la qualité et haussait la qualité tout juste au niveau de la moyenne OCDE, le peuple américain épargnerait 500 milliards de dollars US par année. C'est 20 pour-cent du budget, du budget de santé du pays.
Now you may say that these numbers are fantastic, and it's all logical, but is it possible? This would be a paradigm shift in healthcare, and I would argue that not only can it be done, but it has to be done. The agents of change are the doctors and nurses in the healthcare system.
Maintenant vous pouvez dire que ces chiffres sont fantastiques et c'est tout à fait logique, mais est-ce possible? Ce serait un changement de paradigme dans les soins de santé, et je pourrais vous dire que non seulement c'est possible de le faire, mais ce doit être fait.. Les agents de changement sont les médecins et les infirmières dans le système de santé.
In my practice as a consultant, I meet probably a hundred or more than a hundred doctors and nurses and other hospital or healthcare staff every year. The one thing they have in common is they really care about what they achieve in terms of quality for their patients. Physicians are, like most of you in the audience, very competitive. They were always best in class. We were always best in class. And if somebody can show them that the result they perform for their patients is no better than what others do, they will do whatever it takes to improve. But most of them don't know. But physicians have another characteristic. They actually thrive from peer recognition. If a cardiologist calls another cardiologist in a competing hospital and discusses why that other hospital has so much better results, they will share. They will share the information on how to improve. So it is, by measuring and creating transparency, you get a cycle of continuous improvement, which is what this slide shows.
Dans mon travail comme consultant, je rencontre peut-être plus d'une centaine de médecins et d'infirmières et autres employés d'hôpitaux ou du système de santé chaque année. Ce qu'ils ont en commun, c'est cette préoccupation réelle des résultats en ce qui a trait à la qualité pour leurs patients. Les médecins sont, comme la plupart de vous dans la salle très compétitifs. Ils étaient toujours les meilleurs en classe. Nous étions toujours les meilleurs en classe. Et si quelqu'un peut leur démontrer que le résultat des chirurgies de leurs patients n'est pas mieux que ce que les autres font, ils feront tout ce qu'ils peuvent pour s'améliorer. Mais la plupart ne savent pas. Mais les médecins possèdent une autre caractéristique. La reconnaissance de leurs pairs est réellement importante.. Si un cardiologue appelle un autre cardiologue dans un hôpital concurrent et discute pourquoi cet autre hôpital obtient des résultats bien meilleurs, ils partageront. Ils partageront l'information quant aux manières de s'améliorer. Donc en mesurant et en créant la transparence vous obtenez un cycle d'amélioration continue, c'est ce que cette diapositive vous illustre.
Now, you may say this is a nice idea, but this isn't only an idea. This is happening in reality. We're creating a global community, and a large global community, where we'll be able to measure and compare what we achieve. Together with two academic institutions, Michael Porter at Harvard Business School, and the Karolinska Institute in Sweden, BCG has formed something we call ICHOM. You may think that's a sneeze, but it's not a sneeze, it's an acronym. It stands for the International Consortium for Health Outcome Measurement. We're bringing together leading physicians and patients to discuss, disease by disease, what is really quality, what should we measure, and to make those standards global. They've worked -- four working groups have worked during the past year: cataracts, back pain, coronary artery disease, which is, for instance, heart attack, and prostate cancer. The four groups will publish their data in November of this year. That's the first time we'll be comparing apples to apples, not only within a country, but between countries. Next year, we're planning to do eight diseases, the year after, 16. In three years' time, we plan to have covered 40 percent of the disease burden. Compare apples to apples. Who's better? Why is that?
Maintenant vous pouvez dire, ceci est une belle idée mais ceci n'est pas seulement une idée ça se passe réellement. Nous créons une communauté globale, et une communauté globale importante, où nous pourrons mesurer et comparer ce que nous ce que nous réussissons à faire. De concert avec deux institutions universitaires, Michael Porter du Harvard Business School, et de l'Institut Karolinska en Suède, BCG a conçu quelque chose que nous appelons ICHOM. Vous pouvez pensez que c'est un éternuement, mais ce n'est pas un éternuement, c'est un acronyme qui veut dire Le Consortium International pour les Résultats des mesures en Santé. Nous réunissons des médecins émérites et des patients pour discuter maladie par maladie ce qu'est vraiment la qualité, ce que nos devrions mesurer, et de faire de ces standards, la norme. Ils ont travaillé-- quatre groupes de travail ont travaillé au cours de la dernière année: les cataractes, maux de dos, les maladies coronariennes comme par exemple, la crise cardiaque, et le cancer de la prostate. Les quatre groupes publieront leurs données en novembre de cette année. C'est la première fois que nous comparerons des pommes avec de pommes, non seulement au sein d'un pays mais entre des pays. L'an prochain, nous prévoyons étudier huit maladies, l'année suivante, 16. Dans trois ans, nous prévoyons avoir couvert 40 pour cent de la charge des maladies. Comparez des pommes avec des pommes. Qui est meilleur? Pourquoi?
Five months ago, I led a workshop at the largest university hospital in Northern Europe. They have a new CEO, and she has a vision: I want to manage my big institution much more on quality, outcomes that matter to patients. This particular day, we sat in a workshop together with physicians, nurses and other staff, discussing leukemia in children. The group discussed, how do we measure quality today? Can we measure it better than we do? We discussed, how do we treat these kids, what are important improvements? And we discussed what are the costs for these patients, can we do treatment more efficiently? There was an enormous energy in the room. There were so many ideas, so much enthusiasm. At the end of the meeting, the chairman of the department, he stood up. He looked over the group and he said -- first he raised his hand, I forgot that -- he raised his hand, clenched his fist, and then he said to the group, "Thank you. Thank you. Today, we're finally discussing what this hospital does the right way."
Il y a cinq mois, j'ai animé un séminaire dans la plus grande hôpital universitaire de l'Europe du Nord. Ils ont un nouveau chef de direction et elle a une vision: Je veux gérer ma grande institution universitaire beaucoup plus sur la qualité, les résultats qui comptent pour les patients. Cette journée-là nous étions assis ensemble pour un séminaire avec des médecins, des infirmières et d'autre personnel, discutant de leucémie chez les enfants. Le groupe a discuté, Comment mesurons-nous la qualité aujourd'hui? Peut-on la mesurer mieux que nous le faisons ? Nous avons discuté, comment nous soignons ces enfants, quelles sont les améliorations importantes? Et nous avons discuté quels sont les coûts pour ces patients, peut-on donner administrer des traitements plus efficacement? Il y avait une énergie considérable dans la salle. Il y avait tellement d'idées, tellement d'enthousiasme. À la fin de la réunion, le président du département, il s'est levé. Il a regardé le groupe et a dit-- en premier il a levé sa main, j'avais oublié ça-- il a levé sa main, serré le poing, et a ensuite dit au groupe,'' Merci. Merci. Aujourd'hui, nous discutons enfin de ce que cet hôpital fait de la bonne façon.''
By measuring value in healthcare, that is not only costs but outcomes that matter to patients, we will make staff in hospitals and elsewhere in the healthcare system not a problem but an important part of the solution. I believe measuring value in healthcare will bring about a revolution, and I'm convinced that the founder of modern medicine, the Greek Hippocrates, who always put the patient at the center, he would smile in his grave.
En mesurant la valeur dans le système de santé, ce ne sont pas seulement les coûts mais les résultats qui comptent pour les patients, nous ferons du personnel des hôpitaux et ailleurs dans le système de santé pas un problème mais une importante partie de la solution. Je crois que mesurer la valeur dans le système de santé apportera de grands changements, et je suis persuadé que le fondateur de la médecine moderne, le grec Hippocrate qui mettait toujours le patient au coeur des soins sourirait dans sa tombe.
Thank you.
Merci.
(Applause)
(Applaudissements)