Well, good morning. You know, the computer and television both recently turned 60, and today I'd like to talk about their relationship. Despite their middle age, if you've been following the themes of this conference or the entertainment industry, it's pretty clear that one has been picking on the other. So it's about time that we talked about how the computer ambushed television, or why the invention of the atomic bomb unleashed forces that lead to the writers' strike. And it's not just what these are doing to each other, but it's what the audience thinks that really frames this matter.
Et bien, bonjour. Vous savez, l'ordinateur et la télévision ont tous deux fêté leur 60 ème anniversaire récemment, et aujourd'hui j'aimerais parler de leur relation. Malgré leur maturité, si vous avez suivi les thèmes de cette conférence ou de l'industrie du divertissement, c'est assez clair que l'un des deux a harcelé l'autre. Alors il est grand temps que nous abordions la question: comment l'ordinateur a-t-'il embusqué la télévision. Ou, pourquoi l'invention de la bombe atomique a elle relâché des forces qui aboutissent à la grève des écrivains de scripts télé. Et ce n'est pas juste ce qu'elles se font l'une à l'autre, mais c'est ce que le public pense qui articule vraiment ce problème.
To get a sense of this, and it's been a theme we've talked about all week, I recently talked to a bunch of tweeners. I wrote on cards: "television," "radio," "MySpace," "Internet," "PC." And I said, just arrange these, from what's important to you and what's not, and then tell me why. Let's listen to what happens when they get to the portion of the discussion on television.
Pour saisir le sens de cela, et c'est un thème dont nous avons parlé toute la semaine, j'ai parlé récemment à un groupe d'ados. J'ai écris sur des cartes, télévision, radio, MySpace, Internet PC. Et j'ai dis, organisez les, séparez ce qui est important pour vous et ce qui ne l'est pas, et ensuite dites moi pourquoi. Ecoutons ce qui s'est passé quand ils sont arrivé à la partie de la discussion sur la télévision.
(Video) Girl 1: Well, I think it's important but, like, not necessary because you can do a lot of other stuff with your free time than watch programs.
Vidéo : Et bien, je pense que c'est important mais bon, pas nécessaire parce que tu peux faire plein d'autres choses de ton temps libre plutôt que regarder des programmes télés.
Peter Hirshberg: Which is more fun, Internet or TV?
Qu'est ce qui est le plus amusant ? Internet ou la télé ?
Girls: Internet. Girl 2: I think we -- the reasons, one of the reasons we put computer before TV is because nowadays, like, we have TV shows on the computer. (Girl 3: Oh, yeah.) Girl 2: And then you can download onto your iPod.
Internet. Je pense que l'une des raisons pour laquelle on place l'ordinateur avant la télé c'est que de nos jours, et bien, nous avons les émissions de télé sur l'ordinateur. Oh ouais. Et ensuite tu peux les importer sur ton iPod.
PH: Would you like to be the president of a TV network?
Tu aimerais être la présidente d'une chaîne de télé ?
Girl 4: I wouldn't like it. Girl 2: That would be so stressful. Girl 5: No.
J'aimerais pas ça. Ca serait trop stressant. Non.
PH: How come?
Pourquoi ça?
Girl 5: Because they're going to lose all their money eventually. Girl 3: Like the stock market, it goes up and down and stuff. I think right now the computers will be at the top and everything will be kind of going down and stuff.
Parce qu'ils vont perdre tout leur argent en fin de compte. Comme la bourse, ça monte, ça descend et tout. Je pense que maintenant les ordinateurs seront tout en haut et tout le reste va en quelque sorte baisser et tout ça.
PH: There's been an uneasy relationship between the TV business and the tech business, really ever since they both turned about 30. We go through periods of enthrallment, followed by reactions in boardrooms, in the finance community best characterized as, what's the finance term? Ick pooey.
Peter Hirshberg : Il y a eu une relation agitée entre l'industrie télévisuelle et celle de la technologie, depuis qu'elles ont eu 30 ans toutes les deux. Nous passons par des périodes d'enchantement, suivies par des réactions chiffrées dans la communauté financière qu'on peut résumer par, quel est le terme financier ? ah beurk.
Let me give you an example of this. The year is 1976, and Warner buys Atari because video games are on the rise. The next year they march forward and they introduce Qube, the first interactive cable TV system, and the New York Times heralds this as telecommunications moving to the home, convergence, great things are happening. Everybody in the East Coast gets in the pictures -- Citicorp, Penney, RCA -- all getting into this big vision. By the way, this is about when I enter the picture. I'm going to do a summer internship at Time Warner. That summer I'm all -- I'm at Warner that summer -- I'm all excited to work on convergence, and then the bottom falls out. Doesn't work out too well for them, they lose money. And I had a happy brush with convergence until, kind of, Warner basically has to liquidate the whole thing.
Laissez moi vous donner un exemple. Nous sommes en 1976, et Warner achète Atari parce que les jeux vidéos sont en hausse. L'année d'après ils continuent dans leur lancée et sortent Qube, le premier système de télé interactif par cable, et le New York Times appelle ça la télécommunication arrivant à la maison, la convergence, de belles choses sont en train d'arriver. Tout le monde sur la côte Est s'y met, Citicorp, Penney, RCA, tous sautent dans le train de cette grande vision. Soit dit en passant, tout cela est arrivé à peu près au moment où j'arrive dans l'histoire. Je suis sur le point de faire à stage d'été à Time Warner. Cet été là je suis complètement -- je suis chez Warner cet été là-- je suis tout excité de travailler sur la convergence, et puis le marché s'est effondre. Ca ne marche pas très fort pour eux, ils perdent de l'argent. Et j'ai eu une bonne expérience avec la convergence jusqu'à ce que, en quelque sorte, Warner eu à liquider la totalité de la chose.
That's when I leave graduate school, and I can't work in New York on kind of entertainment and technology because I have to be exiled to California, where the remaining jobs are, almost to the sea, to go to work for Apple Computer. Warner, of course, writes off more than 400 million dollars. Four hundred million dollars, which was real money back in the '70s. But they were onto something and they got better at it. By the year 2000, the process was perfected. They merged with AOL, and in just four years, managed to shed about 200 billion dollars of market capitalization, showing that they'd actually mastered the art of applying Moore's law of successive miniaturization to their balance sheet.
Cela arrive quand je quitte l'université, et je ne peux pas travailler à New York dans le divertissement et la technologie parce que je dois m'exiler en Californie où sont les jobs qui restent, presque dans la mer, et aller travailler pour Apple Computer. Warner bien sur, efface plus de 400 millions de dollars. 400 millions de dollars, c'était une grosse somme dans les années 70. Mais ils étaient sur une piste et ils se sont amélioré. En 2000 le processus était perfectionné. Ils ont fusionné avec AOL, et en tout juste quatre ans, ils ont réussi à faire disparaitre quelques 200 milliards de dollars de capitalisation boursière, montrant qu'il avait effectivement maîtriser l'art d'appliquer la loi de Moore de miniaturisation successive à leur bilan.
(Laughter)
(Rires)
Now, I think that one reason that the media and the entertainment communities, or the media community, is driven so crazy by the tech community is that tech folks talk differently. You know, for 50 years, we've talked about changing the world, about total transformation. For 50 years, it's been about hopes and fears and promises of a better world. And I got to thinking, you know, who else talks that way? And the answer is pretty clearly -- it's people in religion and in politics.
Maintenant, je pense que l'une des raison pour lesquelles les médias et les communautés de divertissement, ou la communauté des médias, sont rendu fous par la communauté technologique est que les gens travaillant dans la technologie parlent différemment. Vous savez, pendant 50 ans nous avons parlé de changer le monde, d'une transformation totale. Pendant 50 ans on parlait d'espoirs et de peurs et -- et de promesses d'un monde meilleur, et j'ai était amené à réfléchir, vous savez, qui d'autre parle de cette façon ? Et la réponse est assez claire, ce sont les personnes dans la religion et la politique.
And so I realized that actually the tech world is best understood, not as a business cycle, but as a messianic movement. We promise something great, we evangelize it, we're going to change the world. It doesn't work out too well, and so we actually go back to the well and start all over again, as the people in New York and L.A. look on in absolute, morbid astonishment. But it's this irrational view of things that drives us on to the next thing.
Et alors j'ai réalisé que en fait le monde de la technologie est mieux compris, non pas comme un cycle d'affaire mais comme un mouvement messianique. Nous promettons quelque chose de génial, nous l'évangélisons, nous allons changer le monde, cela ne marche pas trop bien, et alors là nous revenons au début et recommençons à zéro, pendant que les gens à New York ou L.A. observent complètement stupéfaits. Mais ce ce point de vue irrationnel des choses qui nous nous fait avancer et passer à la prochaine "grande idée".
So, what I'd like to ask is, if the computer is becoming a principal tool of media and entertainment, how did we get here? I mean, how did a machine that was built for accounting and artillery morph into media?
Alors, ce que j'aimerais demander, c'est si l'ordinateur est en train de devenir un majeur outil médiatique et de divertissement, comment en est on arrivé là ? Je veux dire, comment est ce qu'une machine qui était conçue pour la comptabilité et l'artillerie est-elle devenue un média ?
Of course, the first computer was built just after World War II to solve military problems, but things got really interesting just a couple of years later -- 1949 with Whirlwind, built at MIT's Lincoln Lab. Jay Forrester was building this for the Navy, but you can't help but see that the creator of this machine had in mind a machine that might actually be a potential media star. So take a look at what happens when the foremost journalist of early television meets one of the foremost computer pioneers, and the computer begins to express itself.
Bien sur, le premier ordinateur fut construit juste après la seconde guerre mondiale pour résoudre des problèmes militaires, mais les choses deviennent vraiment intéressantes quelques années plus tard, 1949 avec Whirlwind. Construit dans les laboratoire de Lincoln du MIT, Jay Forester l'a conçu pour la navy mais vous ne pouvez pas ne pas voir que le créateur de cette machine avait en tête une machine qui, en fait, pourrait être une potentielle star des médias. Alors jetons un coup d'oeil à ce qui est arrivé quand le plus grand journaliste des débuts de la télévision rencontre un des plus grand pionniers de l'informatique, et que l'ordinateur commence à s'exprimer.
(Video) Journalist: It's a Whirlwind electronic computer. With considerable trepidation, we undertake to interview this new machine.
Vidéo : C'est un ordinateur électronique Whirlwind. Avec une appréhension considérable nous entreprenons d'interviewer cette nouvelle machine.
Jay Forrester: Hello New York, this is Cambridge. And this is the oscilloscope of the Whirlwind electronic computer. Would you like if I used the machine?
Bonjour New York, c'est Cambridge. Et ça c'est l'oscilloscope de l'ordinateur électronique Whirlwind. Voudriez-vous que j'utilise la machine?
Journalist: Yes, of course. But I have an idea, Mr. Forrester. Since this computer was made in conjunction with the Office of Naval Research, why don't we switch down to the Pentagon in Washington and let the Navy's research chief, Admiral Bolster, give Whirlwind the workout?
Oui, bien sur. Mais j'ai une idée, Mr. Forester. Puisque cet ordinateur a été conçu conjointement avec le Bureau de Recherche Navale, pourquoi ne pas laisser la main au Pentagone à Washington et laisser le patron de la recherche de la Navy, l'Amiral Bolster, pousser un peu le Whirlwind.
Calvin Bolster: Well, Ed, this problem concerns the Navy's Viking rocket. This rocket goes up 135 miles into the sky. Now, at the standard rate of fuel consumption, I would like to see the computer trace the flight path of this rocket and see how it can determine, at any instant, say at the end of 40 seconds, the amount of fuel remaining, and the velocity at that set instant. JF: Over on the left-hand side, you will notice fuel consumption decreasing as the rocket takes off. And on the right-hand side, there's a scale that shows the rocket's velocity. The rocket's position is shown by the trajectory that we're now looking at. And as it reaches the peak of its trajectory, the velocity, you will notice, has dropped off to a minimum. Then, as the rocket dives down, velocity picks up again toward a maximum velocity and the rocket hits the ground.
Et bien, Ed, ce problème concerne le missile Vicking de la Navy. Ce missile monte à 216 kilomètres dans le ciel. Maintenant, à la consommation de combustible standard, j'aimerais bien voir l'ordinateur suivre la course de ce missile et voir comment il peut déterminer, à chaque instant, disons en 40 secondes, la quantité de combustible restante, et la vitesse à ce même instant. Sur le côté gauche vous remarquerez une diminution de la consommation de carburant quand le missile décolle. Et sur le côté droit il y a une graduation qui indique la vitesse du missile. La position du missile est indiquée par la trajectoire que nous voyons là. Et quand il atteint le pic de sa trajectoire, la vitesse, vous remarquerez, a chuté à au minimum. Ensuite quand le missile retombe, la vitesse s'accélère de nouveau jusqu'à atteindre une vitesse maximale et le missile percute le sol.
How's that? Journalist: What about that, Admiral? CB: Looks very good to me.
Comment est-ce ? Qu'en dîtes-vous, Amiral? Cela me parait très bien.
JF: And before leaving, we would like to show you another kind of mathematical problem that some of the boys have worked out in their spare time, in a less serious vein, for a Sunday afternoon. (Music)
Et avant de partir nous voudrions vous montrer une autre sorte de problème mathématique sur lequel quelques uns de nos gars ont planché dans leur temps libre, d'un genre un peu moins sérieux pour un dimanche après-midi.
Journalist: Thank you very much indeed, Mr. Forrester and the MIT lab.
Merci beaucoup en effet, Mr Forrester and le laboratoire du MIT.
PH: You know, so much was worked out: the first real-time interaction, the video display, pointing a gun. It lead to the microcomputer, but unfortunately, it was too pricey for the Navy, and all of this would have been lost if it weren't for a happy coincidence.
PH : Vous savez, il y a eu tellement de choses à résoudre . La première interaction en temps réel, l'écran pour la vidéo, pointant une arme. Cela mena à la micro-informatique, mais malheureusement c'état trop coûteux pour la Navale, et tout cela aurait été perdu si il n'y avait pas eu une heureuse coïncidence.
Enter the atomic bomb. We're threatened by the greatest weapon ever, and knowing a good thing when it sees it, the Air Force decides it needs the biggest computer ever to protect us. They adapt Whirlwind to a massive air defense system, deploy it all across the frozen north, and spend nearly three times as much on this computer as was spent on the Manhattan Project building the A-Bomb in the first place. Talk about a shot in the arm for the computer industry. And you can imagine that the Air Force became a pretty good salesman. Here's their marketing video.
La bombe atomique fait son apparition. Nous sommes menacé par la plus puissante arme de tous les temps, et sachant reconnaître une bonne chose quand il la voit l'Air Force décide qu'il a besoin du plus gros ordinateur jamais inventé pour nous protéger. Ils adaptent Whirlwind à un système de défense aérienne massif, le déploient tout le long des zones froides au nord et dépensent presque trois fois plus pour cet ordinateur que ce que nous avons dépensé sur le Manhattan Project pour construire la bombe A au départ. Vous parlez d'une balle dans le pied pour l'industrie de l'informatique. Et vous pouvez imaginer que l'Air Force est devenue un sacré bon vendeur. Voilà leur vidéo promotionnelle.
(Video) Narrator: In a mass raid, high-speed bombers could be in on us before we could determine their tracks. And then it would be too late to act. We cannot afford to take that chance. It is to meet this threat that the Air Force has been developing SAGE, the Semi-Automatic Ground Environment system, to strengthen our air defenses. This new computer, built to become the nerve center of a defense network, is able to perform all the complex mathematical problems involved in countering a mass enemy raid. It is provided with its own powerhouse containing large diesel-driven generators, air-conditioning equipment, and cooling towers required to cool the thousands of vacuum tubes in the computer.
Vidéo : Dans un raid massif, des bombardiers à grandes vitesses pourraient nous arriver dessus avant même que nous détections leurs traces. Et alors il serait trop tard pour agir. Nous ne pouvons pas nous permettre de prendre ce risque. C'est pour contrer cette menace que l'Air Force a développé le SAGE, le système Semi- Automatic Ground Environment (système de l'environnement au sol) , pour renforcer nos défenses aériennes. Ce nouvel ordinateur, conçu pour devenir le centre nerveux d'un système de défense, est capable d'accomplir tous les problèmes mathématiques les plus complexes que requiert la réponse à une attaque ennemie massive. Il vient avec sa propre centrale électrique contenant de larges générateurs fonctionnant au gazole, de l'équipement de climatisation, et des systèmes de refroidissement nécessaires pour refroidir les milliers de tubes électroniques contenus dans l'ordinateur.
PH: You know, that one computer was huge. There's an interesting marketing lesson from it, which is basically, when you market a product, you can either say, this is going to be wonderful, it will make you feel better and enliven you. Or there's one other marketing proposition: if you don't use our product, you'll die. This is a really good example of that.
PH : Vous savez, cet ordinateur était énorme. On peut en tirer une intéressante leçon de marketing, c'est que fondamentalement quand vous commercialisez un produit, vous pouvez soit dire, ça va être merveilleux, vous vous sentirez mieux et ça vous égayera, ou il existe une autre proposition de marketing, si vous n'utilisez pas notre produit, vous allez mourir. En voilà un très bon exemple.
This had the first pointing device. It was distributed, so it worked out -- distributed computing and modems -- so all these things could talk to each other. About 20 percent of all the nation's programmers were wrapped up in this thing, and it led to an awful lot of what we have today. It also used vacuum tubes. You saw how huge it was, and to give you a sense for this -- because we've talked a lot about Moore's law and making things small at this conference, so let's talk about making things large. If we took Whirlwind and put it in a place that you all know, say, Century City, it would fit beautifully. You'd kind of have to take Century City out, but it could fit in there.
Ce système fut le premier à avoir un appareil de pointage. Il fonctionnait de façon distribuée, donc ça a marché, la distribution de l'informatique et des modems, pour que toutes ces choses puissent se parler les unes aux autres. Environ 20 pour cent des programmeurs de toutes les nations furent absorbés dans ce truc, et cela a mené à beaucoup de ce que nous avons aujourd'hui. Il utilisait aussi les tubes de vide. Vous avez vu comme c'était énorme, et pour vous donnez une une idée, parce que nous avons beaucoup parlé de la loi de Moore et de faire de petites choses à cette conférence, alors parlons de faire de grandes choses. Si nous prenions Whirlwind et nous le mettions dans un endroit que vous connaissez tous, disons, Century City, il y tiendrait parfaitement. Il faudrait en quelque sort enlever Century City mais cela pourrait tenir.
But like, let's imagine we took the latest Pentium processor, the latest Core 2 Extreme, which is a four-core processor that Intel's working on, it will be our laptop tomorrow. To build that, what we'd do with Whirlwind technology is we'd have to take up roughly from the 10 to Mulholland, and from the 405 to La Cienega just with those Whirlwinds. And then, the 92 nuclear power plants that it would take to provide the power would fill up the rest of Los Angeles. That's roughly a third more nuclear power than all of France creates. So, the next time they tell you they're on to something, clearly they're not. So -- and we haven't even worked out the cooling needs. But it gives you the kind of power that people have, that the audience has, and the reasons these transformations are happening.
Mais voyons, imaginons que nous prenions le dernier processeur Pentium, le dernier Core 2 Extreme, un processeur à quatre coeurs sur lequel Intel est en train de plancher, ce sera notre portable demain. Pour construire ça, ce que devrions faire avec la technologie Whirlwind, nous devrions avoir à reprendre approximativement du 10 de Mulholland, et du 405 de La Cienega juste pour ces Whirlwinds. Et alors les 92 centrales nucléaires nécessaire pour fournir l'énergie rempliraient le reste de Los Angeles. C'est approximativement un tier d'énergie nucléaire de plus que ce que toute la France produit. Alors, la prochaine fois qu'ils vous disent qu'ils sont sur quelque chose, clairement, ils ne le sont pas. Alors, et nous n'avons même pas résolu les besoins de refroidissement. Mais cela vous donne une idée de la quantité d'énergie que les gens ont, que le public a, et les raisons pour lesquelles ces transformations sont en train de se produire.
All of this stuff starts moving into industry. DEC kind of reduces all this and makes the first mini-computer. It shows up at places like MIT, and then a mutation happens. Spacewar! is built, the first computer game, and all of a sudden, interactivity and involvement and passion is worked out. Actually, many MIT students stayed up all night long working on this thing, and many of the principles of gaming today were worked out. DEC knew a good thing about wasting time. It shipped every one of its computers with that game.
Tout ce processus commence à se propager à l'industrie. DEC réduit en quelque sorte tout ça et fabrique le premier mini ordinateur. Il apparaît à des endroits tel que le MIT, et alors une mutation se produit. Spacewar est conçu, le premier jeu vidéo d'ordinateur, et tout d'un coup, l'interactivité, la participation et la passion sont résolus. En fait, beaucoup d'étudiants du MIT ont passé des nuits blanches à travailler sur cette chose, et beaucoup des principes du jeu vidéo d' aujourd'hui furent viennent de là. DEC en savait long sur comment perdre du temps. Il équipa chacun de ses ordinateurs avec ce jeu.
Meanwhile, as all of this is happening, by the mid-'50s, the business model of traditional broadcasting and cinema has been busted completely. A new technology has confounded radio men and movie moguls and they're quite certain that television is about to do them in. In fact, despair is in the air. And a quote that sounds largely reminiscent from everything I've been reading all week. RCA had David Sarnoff, who basically commercialized radio, said this, "I don't say that radio networks must die. Every effort has been made and will continue to be made to find a new pattern, new selling arrangements and new types of programs that may arrest the declining revenues. It may yet be possible to eke out a poor existence for radio, but I don't know how." And of course, as the computer industry develops interactively, producers in the emerging TV business actually hit on the same idea. And they fake it.
En même temps, pendant que tout cela arrive, au milieu des années 50 le modèle d'affaire du cinéma et de la diffusion traditionnelle d'émissions, a complètement explosé. Les hommes de radio et les magnats du cinéma sont confondus par une nouvelle technologie et ils sont plutôt certains que la télévision va avoir leur peau. En fait, une odeur de désespoir flotte dans l'air. Et une citation très évocatrice de tous ce que j'ai lu toute la semaine -- RCA recevait David Sarnoff qui en gros a commercialisé la radio, a dit cela, je ne dis pas que les réseaux de radio doivent mourir, tous les efforts ont été fait et continueront d'être faits pour trouver une nouvelle organisation, de nouveaux arrangements de vente et de nouveaux types de programme qui pourraient stopper la baisse des revenues. Cela pourrait être encore possible de tirer quelques revenus de la radio, mais je ne sais pas comment. Et bien sur, vu que l'industrie informatique se développe interactivement, les producteurs du nouveau secteur de la télévision suivent la même idée. Et ils font semblant.
(Video) Jack Berry: Boys and girls, I think you all know how to get your magic windows up on the set, you just get them out. First of all, get your Winky Dink kits out. Put out your Magic Window and your erasing glove, and rub it like this. That's the way we get some of the magic into it, boys and girls. Then take it and put it right up against the screen of your own television set, and rub it out from the center to the corners, like this. Make sure you keep your magic crayons handy, your Winky Dink crayons and your erasing glove, because you'll be using them during the show to draw like that. You all set? OK, let's get right to the first story about Dusty Man. Come on into the secret lab.
Vidéo : Les filles et les garçons, je pense que vous savez tous comment obtenir votre fenêtre magique debout sur la scène, vous les sortez de la boite. Premièrement, sortez vos kits Winky Dink. Placez votre fenêtre magique et votre gant effaceur et frotter la comme ceci. C'est de cette façon que nous pouvons avoir de la magie à l'intérieur, les filles et les garçons. Alors prenez le et mettez le directement contre l'écran de votre propre poste de télévision et frottez le du centre jusqu'aux coins, comme cela. Assurez vous que vous gardez vos crayons tout près, vos crayons Winky Dink et votre gant effaceur, parce que vous allez les utiliser pendant l'emission pour dessiner comme ça. Vous êtes tous prêt ? OK, passons directement à la première histoire sur Dusty Man. Venez dans le laboratoire secret.
PH: It was the dawn of interactive TV, and you may have noticed they wanted to sell you the Winky Dink kits. Those are the Winky Dink crayons. I know what you're saying. "Pete, I could use any ordinary open-source crayon, why do I have to buy theirs?" I assure you, that's not the case. Turns out they told us directly that these are the only crayons you should ever use with your Winky Dink Magic Window, other crayons may discolor or hurt the window. This proprietary principle of vendor lock-in would go on to be perfected with great success as one of the enduring principles of windowing systems everywhere. It led to lawsuits --
PH : c'était l'aube de la télé interactive, et vous avez peut être remarqué qu'ils voulaient vous vendre les kits Winky Dink. Ceci sont les crayons Winky Dink. Je sais ce que vous vous dites, "Pete, je pourrais utiliser n'importe quel crayon ordinaire, pourquoi suis je obligé d'acheter les leurs ?" Je vous assure, ce n'est pas le cas. Il s'est avéré qu'ils nous ont dit directement que ceux ci étaient les seuls crayons que vous devriez utiliser avec votre fenêtre magique Winky Dink, d'autres crayons pouvant décolorer ou abimer la fenêtre. Ce principe de l'enfermement propriétaire allait être par la suite être perfectionné avec grand succès comme l'un principes durables de tous les systèmes de mise en fenêtre. Cela mena à des poursuites judiciaires,
(Laughter) --
(Rires)
federal investigations, and lots of repercussions, and that's a scandal we won't discuss today.
des enquêtes fédérales, et un tas de répercutions, et c'est un scandale dont nous ne discuterons pas aujourd'hui.
But we will discuss this scandal, because this man, Jack Berry, the host of "Winky Dink," went on to become the host of "Twenty One," one of the most important quiz shows ever. And it was rigged, and it became unraveled when this man, Charles van Doren, was outed after an unnatural winning streak, ending Berry's career. And actually, ending the career of a lot of people at CBS. It turns out there was a lot to learn about how this new medium worked.
Mais nous parlerons de ce scandale, parce que cet homme, Jack Berry, l'animateur de Winky Dink, devint l'animateur de "21", une des plus importante emission de questions-réponses de tous les temps. Et c'était truqué, et la vérité éclata quand cet homme, Charles van Doren, fut découvert après une série de victoires anormale, mettant fin à la carrière de Berry. Et en fait, mettant fin à la carrière de beaucoup de personne à CBS. Il s'avéra qu'il y avait beaucoup à apprendre sur la façon dont ce nouveau médium fonctionnait.
And 50 years ago, if you'd been at a meeting like this and were trying to understand the media, there was one prophet and only but one you wanted to hear from, Professor Marshall McLuhan. He actually understood something about a theme that we've been discussing all week. It's the role of the audience in an era of pervasive electronic communications. Here he is talking from the 1960s.
Et il y a 50 ans, si vous aviez été à une réunion comme celle ci et aviez essayé de comprendre le média, il y n'y aurait eu qu'un seul et unique prophète que vous auriez voulu écouter, le Professeur Marshall MacLuhan. Il comprenait vraiment un thème dont nous avons discuté toute la semaine. C'est le rôle du public dans une ère de communications électroniques omniprésentes. Le voilà parlant dans les années 1960s.
(Video) Marshall McLuhan: If the audience can become involved in the actual process of making the ad, then it's happy. It's like the old quiz shows. They were great TV because it gave the audience a role, something to do. They were horrified when they discovered they'd really been left out all the time because the shows were rigged. Now, then, this was a horrible misunderstanding of TV on the part of the programmers.
Vidéo : Si le public peut devenir impliqué dans l'actuel processus de fabrication de la publicité, alors il est content. C'est comme les anciennes émissions de questions-réponses -- elles étaient géniales à la télé parce qu'elles donnaient un rôle à l'audience, quelque chose à faire. Ils étaient horrifiés quand ils ont découvert qu'ils avaient été délaissé tout ce temps parce que l'émission était truquée. Bon c'était la preuve d'une horrible incompréhension de la télé par les programmeurs.
PH: You know, McLuhan talked about the global village. If you substitute the word blogosphere, of the Internet today, it is very true that his understanding is probably very enlightening now. Let's listen in to him.
PH : Vous savez, McLuhan parlait du village planétaire. Si vous substituez le mot blogosphère de l'internet d'aujourd'hui, c'est vrai que sont interprétation est probablement très instructive maintenant. Ecoutons le.
(Video) MM: The global village is a world in which you don't necessarily have harmony. You have extreme concern with everybody else's business and much involvement in everybody else's life. It's a sort of Ann Landers' column writ large. And it doesn't necessarily mean harmony and peace and quiet, but it does mean huge involvement in everybody else's affairs. And so the global village is as big as a planet, and as small as a village post office.
Video : Le village planétaire est un monde dans lequel vous n'avez pas nécessairement d'harmonie, vous êtes très soucieux des affaires des autres et participez beaucoup dans la vie des autres. C'est une sorte de rubrique d'Anne Landers géante. Et cela ne signifie pas nécessairement harmonie, paix et tranquilité, mais cela signifie bien une énorme implication dans les affaires des autres. Et alors le village planétaire est aussi grand qu'une planète et aussi petit qu'une poste de village.
PH: We'll talk a little bit more about him later. We're now right into the 1960s. It's the era of big business and data centers for computing. But all that was about to change. You know, the expression of technology reflects the people and the time of the culture it was built in. And when I say that code expresses our hopes and aspirations, it's not just a joke about messianism, it's actually what we do. But for this part of the story, I'd actually like to throw it to America's leading technology correspondent, John Markoff.
PH : Nous parlerons un peu plus de lui plus tard. Nous somme maintenant de retour des les années 1960s. C'est l'ère des grosses affaires et des centres de données informatiques. Mais tout cela est sur le point de changer. Vous savez, l'expression de la technologie reflète les gens et l'époque de la culture dans laquelle elle a été conçue. Et quand je dis que ce code exprime nos espoirs et aspirations, ce n'est pas juste une blague sur le messianisme, c'est vraiment ce que nous faisons. Mais pour cette partie de l'histoire, j'aimerais vraiment passer la balle au leader du journalisme technologique aux Etats-Unis, John Markoff.
(Video) John Markoff: Do you want to know what the counterculture in drugs, sex, rock 'n' roll and the anti-war movement had to do with computing? Everything. It all happened within five miles of where I'm standing, at Stanford University, between 1960 and 1975. In the midst of revolution in the streets and rock and roll concerts in the parks, a group of researchers led by people like John McCarthy, a computer scientist at the Stanford Artificial Intelligence Lab, and Doug Engelbart, a computer scientist at SRI, changed the world. Engelbart came out of a pretty dry engineering culture, but while he was beginning to do his work, all of this stuff was bubbling on the mid-peninsula. There was LSD leaking out of Kesey's Veterans' Hospital experiments and other areas around the campus, and there was music literally in the streets. The Grateful Dead was playing in the pizza parlors. People were leaving to go back to the land. There was the Vietnam War. There was black liberation. There was women's liberation. This was a remarkable place, at a remarkable time. And into that ferment came the microprocessor.
Vidéo : Voulez vous savoir ce que la contreculture avec la drogue, le sexe, le rock'n roll et le mouvement pacifiste avait à voir avec l'informatique ? Tout. Tout s'est déroulé dans un périmètre de 8 kilomètres autour du point où je me trouve à l'université de Stanford, entre 1960 et 1975. Au beau milieu des révolutions dans les rues et des concerts de rock'n roll dans les parcs, un groupe de chercheurs mené par des gens comme John McCarthy, un ingénieur en informatique au laboratoire d'intelligence artificielle de Stanford, et Doug Engelbart, un ingénieur informaticien au SRI, changèrent le monde. Engelbart venait d'une culture de l'ingénierie assez sèche, mais alors qu'il commençait à faire son travail, toutes ces choses étaient en train de bouillonner à la Mid-Peninsula. LE LSD dégoulinait des expérimentation de l'hôpital des vétérants de Keasey, et d'autres zones autour du campus, et il y avait littéralement de la musique dans les rues. Les Grateful Dead jouaient dans les pizzérias. Les gens partaient pour retourner à la campagne. Il y avait la guerre du Vietnam, il y avait la libération de la communauté afro-américaine, il y avait la libération des femmes. C'était un endroit exceptionnel à une époque exceptionnelle. Et dans cette agitation naquit le microprocesseur.
I think it was that interaction that led to personal computing. They saw these tools that were controlled by the establishment as ones that could actually be liberated and put to use by these communities that they were trying to build. And most importantly, they had this ethos of sharing information. I think these ideas are difficult to understand, because when you're trapped in one paradigm, the next paradigm is always like a science fiction universe -- it makes no sense. The stories were so compelling that I decided to write a book about them. The title of the book is, "What the Dormouse Said: How the '60s Counterculture Shaped the Personal Computer Industry." The title was taken from the lyrics to a Jefferson Airplane song. The lyrics go, "Remember what the dormouse said. Feed your head, feed your head, feed your head." (Music)
Je pense que ce fut cette interaction qui nous mena à l'informatique personnelle. Ils ont vu ces outils qui étaient contrôlé par l'établissement comme des outils qui pourraient être libérés et utilisés par ces communautés qu'ils étaient en train d'essayer de construire. Et plus important encore, ils avaient cette philosophie du partage d'information. Je pense que ces idées sont assez difficiles à comprendre, parce que quand vous êtes coincé dans un paradigme, le paradigme suivant est toujours considéré comme un univers de science-fiction qui n'a aucun sens. Les histoires étaient tellement fascinantes que j'ai décidé d'écrire un livre dessus. Le tire du livre est, "Ainsi parlait le loir : Comment la contreculture des années 60 a façonné l'industrie de l'ordinateur personnel." Le titre était emprunté aux paroles d'une chanson des Jefferson Airplane. Les paroles font, "Souviens toi de ce que le loir disait, nourris ta tête, nourris ta tête, nourris ta tête."
PH: By this time, computing had kind of leapt into media territory, and in short order much of what we're doing today was imagined in Cambridge and Silicon Valley. Here's the Architecture Machine Group, the predecessor of the Media Lab, in 1981. Meanwhile, in California, we were trying to commercialize a lot of this stuff. HyperCard was the first program to introduce the public to hyperlinks, where you could randomly hook to any kind of picture, or piece of text, or data across a file system, and we had no way of explaining it. There was no metaphor. Was it a database? A prototyping tool? A scripted language? Heck, it was everything. So we ended up writing a marketing brochure.
PH : A ce moment, l'informatique avait infiltré le territoire des médias et en peu de temps, une grande partie de ce qu'on fait aujourd'hui était imaginé à Cambridge et dans la Silicon Valley. Voilà le groupe Architecture Machine, le prédécesseur de Media Lab en 1981. Pendant ce temps, en Californie, nous étions en train d'essayer de commercialiser beaucoup de ces trucs. HyperCard était le tout premier programme qui présentait au public des liens hypertextes, où vous pouviez aléatoirement accrocher n'importe quelle image, morceau de texte, ou donnée dans le système de données, et nous n'avions aucun moyen de l'expliquer. Il n'y avait pas de métaphore. Etait-ce une base de données ? Un outil pour faire des prototypes, un langage crypté ? Zut, c'était tout. Alors on a fini par écrire une brochure marketing.
We asked a question about how the mind works, and we let our customers play the role of so many blind men filling out the elephant. A few years later, we then hit on the idea of explaining to people the secret of, how do you get the content you want, the way you want it and the easy way? Here's the Apple marketing video.
Nous avons posé une question sur comment l'esprit fonctionnait, et nous avons laissé les consommateurs jouer le rôle de tant d'hommes aveugles remplissant l'éléphant. Quelques années plus tard, nous avons eu une l'idée d'expliquer aux gens le secret de comment obtenir le contenu que vous voulez, comme vous le voulez et facilement ? Voilà la vidéo marketing d'Apple.
(Video) James Burke: You'll be pleased to know, I'm sure, that there are several ways to create a HyperCard interactive video. The most involved method is to go ahead and produce your own videodisc as well as build your own HyperCard stacks. By far the simplest method is to buy a pre-made videodisc and HyperCard stacks from a commercial supplier. The method we illustrate in this video uses a pre-made videodisc but creates custom HyperCard stacks. This method allows you to use existing videodisc materials in ways which suit your specific needs and interests.
Vidéo : Vous serez heureux d'apprendre, j'en suis sur, qu'il existe plusieurs façons de créer une vidéo interactive HyperCard. La plus compliquée est de se lancer et de produire votre propre disque vidéo ainsi que des tas de vos propres HyperCards. La méthode de loin la plus simple est d'acheter un disque vidéo préfabriqué et des piles d'HyperCards chez un commerçant distributeur. La méthode que nous illustrons dans cette vidéo utilise un disque vidéo pré-fabriqué mais créée des piles d'HyperCard personnalisées. Cette méthode vous permet d'utiliser des disque vidéos déjà existant de la façon qui satisfait le mieux votre besoins et intérêts.
PH: I hope you realize how subversive that is. That's like a Dick Cheney speech. You think he's a nice balding guy, but he's just declared war on the content business. Find the commercial stuff, mash it up, tell the story your way. Now, as long as we confine this to the education market, and a personal matter between the computer and the file system, that's fine, but as you can see, it was about to leap out and upset Jack Valenti and a lot of other people.
PH : J'espère que vous réalisez à quel point c'est subversif. C'est comme un discours de Dick Cheney. Vous pensez que c'est une gentil gars dégarni, mais en fait il vient de déclarer la guerre au le marché des contenus. Trouvez les trucs commerciaux, mélangez les, racontez l'histoire à votre façon. Maintenant, aussi longtemps que nous confinons cela au marché de l'éducation, et à une histoire personnelle entre l'ordinateur et le système de fichiers, c'est bon, mais comme vous pouvez le constater, c'était sur le point d'aller au delà et d'énerver Jack Valenti et beaucoup de monde.
By the way, speaking of the filing system, it never occurred to us that these hyperlinks could go beyond the local area network. A few years later, Tim Berners-Lee worked that out. It became a killer app of links, and today, of course, we call that the World Wide Web. Now, not only was I instrumental in helping Apple miss the Internet, but a couple of years later, I helped Bill Gates do the same thing. The year is 1993 and he was working on a book and I was working on a video to help him kind of explain where we were all heading and how to popularize all this. We were plenty aware that we were messing with media, and on the surface, it looks like we predicted a lot of the right things, but we also missed an awful lot. Let's take a look.
Soit dit en passant, en parlant du système de classement, il ne nous est jamais arrivé de penser que ces hyperliens pourraient aller au-delà du réseau local. Quelques années plus tard, Tim berners-Lee résolut ce problème. C'est devenu une killer application de liens et aujourd'hui bien entendu, nous appelons ça le World Wide Web. Maintenant, non seulement j'ai été clé à faire rater l'Internet à Apple, mais quelques années plus tard j'ai aidé Bill Gates a faire la même chose. C'est l'année 1993. Et il travaillait sur un livre et je travaillais sur une vidéo pour l'aider à en quelque sorte expliquer vers quoi nous nous dirigions et comment populariser tout ça. Nous étions tout à fait conscients que nous étions en train de jouer avec le feu avec les médias, et en apparence on aurait cru qu'on avait correctement prédit beaucoup de choses, mais nous en avons aussi ratées beaucoup. Jetons un coup d'oeil.
(Video) Narrator: The pyramids, the Colosseum, the New York subway system and TV dinners, ancient and modern wonders of the man-made world all. Yet each pales to insignificance with the completion of that magnificent accomplishment of twenty-first-century technology, the Digital Superhighway. Once it was only a dream of technoids and a few long-forgotten politicians. The Digital Highway arrived in America's living rooms late in the twentieth century. Let us recall the pioneers who made this technical marvel possible. The Digital Highway would follow the rutted trail first blazed by Alexander Graham Bell. Though some were incredulous ... Man 1: The phone company! Narrator: Stirred by the prospects of mass communication and making big bucks on advertising, David Sarnoff commercializes radio. Man 2: Never had scientists been put under such pressure and demand. Narrator: The medium introduced America to new products. Voice 1: Say, mom, Windows for Radio means more enjoyment and greater ease of use for the whole family. Be sure to enjoy Windows for Radio at home and at work. Narrator: In 1939, the Radio Corporation of America introduced television. Man 2: Never had scientists been put under such pressure and demand.
Vidéo : Les pyramides, le Colisée, le métro new-yorkais et les plateaux télés, toutes les anciennes et modernes merveilles construites par l'homme. Cependant ils deviennent dérisoires devant l'achèvement de cet exploit extraordinaire de la technologie du 21e siècle, la Digital Superhighway (super autoroute digitale). A une époque, ce n'était que le rêve de technoids et de quelques politiciens oubliés depuis longtemps. La Digital Highway est arrivée dans les salons américains à la fin du 20e siècle. Souvenons nous des pionniers qui rendirent cette merveille de technicité possible. La Digital Highway allait suivre le chemin de terre illuminé pour la première fois par Alexander Graham Bell. Bien que certains aient été incrédules -- les sociétés de téléphonie! Reveillé par les perspectives de communication de masse et se faisant un sacré pactole avec la publicité, David Sarnoff commercialise la radio. Jamais les scientifiques n'ont subit autant de pression et de demande. Le support publicitaire présentait à l'Amérique des nouveaux produits. Disant, Maman, Windows for Radio veut dire plus d'amusement et une plus grande facilité d'utilisation pour toute la famille. Soyez sûr de profiter de Windows for Radio à la maison et au travail. En 1939, la Corporation de la Radio Américaine introduisit la télévision. Jamais les scientifiques n'ont subit autant de pression et de demande.
Narrator: Eventually, the race to the future took on added momentum with the breakup of the telephone company. And further stimulus came with the deregulation of the cable television industry, and the re-regulation of the cable television industry. Ted Turner: We did the work to build this, this cable industry, now the broadcasters want some of our money. I mean, it's ridiculous. Narrator: Computers, once the unwieldy tools of accountants and other geeks, escaped the backrooms to enter the media fracas. The world and all its culture reduced to bits, the lingua franca of all media. And the forces of convergence exploded.
En fin de compte, la course pour le futur prit un élan supplémentaire avec l'éffondrement des sociétés de téléphonie. Et une impulsion supplémentaire vint avec la dérégulation de l'industrie de la télévision câblée, et la re-régulation de l'industrie de la télévision câblée. Nous avons fait tout le travail pour construire ça, cette industrie du câble, maintenant les diffuseurs veulent une partie de notre argent. Enfin, c'est ridicule. Les ordinateurs, à une époque jour les outils encombrants de comptables et autres geeks sont sorti de l'ombre pour rentrer dans le fracas médiatique. Le monde et toutes ses cultures ont été réduits à des bits, la langua franca de tous les média. Et les forces de la convergence ont explosé.
Finally, four great industrial sectors combined. Telecommunications, entertainment, computing and everything else. Man 3: We'll see channels for the gourmet and we'll see channels for the pet lover. Voice 2: Next on the gourmet pet channel, decorating birthday cakes for your schnauzer. Narrator: All of industry was in play, as investors flocked to place their bets. At stake: the battle for you, the consumer, and the right to spend billions to send a lot of information into the parlors of America. (Music)
Finalement, quatre grands secteurs industriels fusionnèrent. Télécommunications, divertissement, informatique et tout le reste. Nous verrons des chaînes pour les gourmets et nous verrons des chaînes pour les amoureux des animaux de compagnie. Juste après sur la chaîne des animaux de compagnie gourmets, décorez des gâteaux d'anniversaire pour votre schnauzer. Toute l'industrie était en jeu quand les investisseurs affluaient pour placer leurs mises. En jeu, la bataille pour vous, le consommateur, et le droit de dépenser des milliards pour envoyer un tas d'information des les réfectoires de l'Amérique.
PH: We missed a lot. You know, you missed, we missed the Internet, the long tail, the role of the audience, open systems, social networks. It just goes to show how tough it is to come up with the right uses of media. Thomas Edison had the same problem. He wrote a list of what the phonograph might be good for when he invented it, and kind of only one of his ideas turned out to have been the right early idea. Well, you know where we're going on from here. We come into the era of the dotcom, the World Wide Web, and I don't need to tell you about that because we all went through that bubble together. But when we emerge from this and what we call Web 2.0, things actually are quite different. And I think it's the reason that TV's so challenged. If Internet one was about pages, now it's about people. It's a customer, it's an audience, it's a person who's participating. It's the formidable thing that is changing entertainment now.
PH : Nous avons raté beaucoup de choses. Vous savez, vous avez raté, nous avons raté le Internet, la longue traîne, le rôle du public, les systèmes ouverts, les réseaux sociaux. Cela montre parfaitement à quel point c'est difficile d'utiliser correctement les médias. Thomas Edison avait le même problème. Il a écrit une liste d'à quoi le phonographe pourrait bien servir quand il l'inventa, et à peu près une seule de ses idées s'avéra être la bonne première idée. Et bien, vous savez où nous allons à partir d'ici. Nous entrons dans l'ère du point com, le World Wide Web, et je n'ai pas besoin de vous parlez de ça parce que nous avons tous traversé cette bulle ensemble. Mais quand nous émergerons de cela, et de ce qu'on appelle le Web 2.0, les choses seront assez différentes, et je pense que c'est la raison pour laquelle la télévision est un tel défi. Internet 1 était à propos des pages, maintenant c'est à propos des gens. C'est un consommateur, c'est un public, c'est une personne qui participe. C'est la chose formidable qui est en train de changer le divertissement aujourd'hui.
(Video) MM: Because it gave the audience a role, something to do.
Vidéo : Parce que cela a donné un rôle au public, quelque chose à faire.
PH: In my own company, Technorati, we see something like 67,000 blog posts an hour come in. That's about 2,700 fresh, connective links across about 112 million blogs that are out there. And it's no wonder that as we head into the writers' strike, odd things happen. You know, it reminds me of that old saw in Hollywood, that a producer is anyone who knows a writer. I now think a network boss is anyone who has a cable modem. But it's not a joke. This is a real headline. "Websites attract striking writers: operators of sites like MyDamnChannel.com could benefit from labor disputes." Meanwhile, you have the TV bloggers going out on strike, in sympathy with the television writers. And then you have TV Guide, a Fox property, which is about to sponsor the online video awards -- but cancels it out of sympathy with traditional television, not appearing to gloat. To show you how schizophrenic this all is, here's the head of MySpace, or Fox Interactive, a News Corp company, being asked, well, with the writers' strike, isn't this going to hurt News Corp and help you online?
PH : Dans ma propre société, Technorati, nous observons quelque chose comme 67, 000 commentaires de blogs en une heure. Cela représente 2,700 liens de connexion supplémentaires dans environ 112 millions de blogs. Et ce n'est pas surprenant qu'alors que nous nous dirigeons vers la grève des écrivains, des choses bizarres arrivent. Vous savez, cela me rappelle ce vieux dicton d'Hollywood qu'un producteur est quelqu'un qui connait un écrivain. Maintenant, je pense qu'un dirigeant de réseau est quelqu'un qui a un modem câble. Mais ce n'est pas une blague. C'est un vrai titre, "Les sites Web attirent les écrivains grévistes." "Les opérateurs de sites Web comme MyDamnChannel.com pourraient tirer des avantages des conflits sociaux." Pendant ce temps, vous avez les blogueurs de la télévision qui entrent en grêve par solidarité avec les écrivains de la télévision. Et après vous avez TV Guide, une propriété de Fox, qui est sur le point de sponsoriser les prix des meilleurs vidéos en ligne, mais les annule par solidarité avec la télévision traditionnelle, ne semblant pas jubiler. Pour vous montrer à quel point cela est schizophrénique, voilà la société mère de MySpace, ou de Fox Interactive, une société de News Corp, à laquelle on a demandé, enfin, avec la grève des écrivains, est-ce que ça ne va pas nuire à News Corp et vous aider en ligne?
(Video) Man: But I, yeah, I think there's an opportunity. As the strike continues, there's an opportunity for more people to experience video on places like MySpace TV.
Vidéo : Mais je, oui, je pense qu'il y a une opportunité, vu que les grèves continuent il y a une opportunité pour plus de personne de découvrir des vidéos dans des endroits comme MySpace TV.
PH: Oh, but then he remembers he works for Rupert Murdoch.
PH : Oh, mais alors il se souvient qu'il travaille pour Rupert Murdoch.
(Video) Man: Yes, well, first, you know, I'm part of News Corporation as part of Fox Entertainment Group. Obviously, we hope that the strike is -- that the issues are resolved as quickly as possible.
Vidéo : Oui, et bien, premièrement, vous savez, je fait partie de News Corporation au travers du groupe Fox Entertainment, évidemment nous espérons que la grève est, que les problèmes soit résolus le plus rapidement possible.
PH: One of the great things that's going on here is the globalization of content really is happening. Here is a clip from a video, from a piece of animation that was written by a writer in Hollywood, animation worked out in Israel, farmed out to Croatia and India, and it's now an international series.
PH : L'une des chose géniales qui se passe ici est que la globalisation des contenus est véritablement en train de se produire. Voilà un extrait de la vidéo, d'un morceau de dessin animé qui a été écrit par un écrivain à Hollywood, dont l'animation a été conçue en Israel, sous-traitée en Croatie et en Inde, et c'est désormais une série internationale.
(Video) Narrator: The following takes place between the minutes of 2:15 p.m. and 2:18 p.m., in the months preceding the presidential primaries.
Vidéo : Ce qui va suivre se déroule entre la minute 2:15 et la minute 2:18. dans les mois précédant les primaires aux élections présidentielles.
Voice 1: You'll have to stay here in the safe house until we get word the terrorist threat is over.
Vous devrez rester ici en lieu sûr jusqu'à ce qu'on soit sûr qu'il n'y ait plus de menace terroriste.
Voice 2: You mean we'll have to live here, together? Voices 2, 3 and 4: With her? Voice 2: Well, there goes the neighborhood.
Vous voulez dire que nous allons devoir vivre ici, ensemble? Avec elle? Et bien, en voilà un voisinage.
PH: The company that created this, Aniboom, is an interesting example of where this is headed. Traditional TV animation costs, say, between 80,000 and 10,000 dollars a minute. They're producing things for between 1,500 and 800 dollars a minute. And they're offering their creators 30 percent of the back end, in a much more entrepreneurial manner. So, it's a different model. What the entertainment business is struggling with, the world of brands is figuring out.
PH : La société qui a créé ça, Aniboom, est un exemple intéressant de où cela nous mène. Les dessins animé télé traditionnels coûtent, disons, entre 80,000 et 10,000 dollars la minute. Ils produisent des choses à entre 1,500 et 800 dollars la minute. Et ils offrent à leurs créateurs 30 pour cent du résultat final d'une manière bien plus entrepreneuriale. Donc, c'est un modèle différent. Les problèmes que rencontre le marché du divertissement, sont résolus par le monde des marques.
For example, Nike now understands that Nike Plus is not just a device in its shoe, it's a network to hook its customers together. And the head of marketing at Nike says, "People are coming to our site an average of three times a week. We don't have to go to them." Which means television advertising is down 57 percent for Nike. Or, as Nike's head of marketing says, "We're not in the business of keeping media companies alive. We're in the business of connecting with consumers."
Par exemple, Nike comprends désormais que Nike Plus n'est pas seulement un dispositif dans ses chaussures, c'est un système pour mettre lier ses clients ensemble. Et le responsable marketing chez Nike affirme, les gens viennent sur notre site trois fois par semaine en moyenne. Nous n'avons pas à aller les chercher, ce qui signifie que la publicité télévisuelle est en baisse de 57 pour cent chez Nike. Ou, comme le dit le responsable marketing de Nike, "Nous ne sommes pas dans le business de garder les sociétés médiatiques en vie. Nous sommes dans le business de nous connecter avec nos clients."
And media companies realize the audience is important also. Here's a man announcing the new Market Watch from Dow Jones, powered 100 percent by the user experience on the home page -- user-generated content married up with traditional content. It turns out you have a bigger audience and more interest if you hook up with them. Or, as Geoffrey Moore once told me, it's intellectual curiosity that's the trade that brands need in the age of the blogosphere. And I think this is beginning to happen in the entertainment business.
Et les sociétés de média réalisent que le public est important aussi. Voilà un homme annonçant la nouvelle section Market Watch de Dow Jones, qui est alimentée à 100 pour cent par l'expérience des utilisateurs sur la page d'accueil, le contenu généré par l'utilisateur étant associé au contenu traditionnel. Il s'avère que vous avez un public plus important et plus intéressé si vous êtes connecté avec lui. Ou, comme Geoffrey Moore m'a dit une fois, C'est la curiosité intellectuelle qui est le trait dont les marques ont besoin à l'age de le blogosphere. Et je pense que ça commence à arriver dans le marché du divertissement.
One of my heroes is songwriter, Ally Willis, who just wrote "The Color Purple" and has been an R and -- rhythm and blues writer, and this is what she said about where songwriting's going.
Une de mes héroïnes est une compositrice de chansons, Ally Willis, qui vient juste d'écrire "The Color Purple" et a été un R et -- une compositeur de rythme and blues, et c'est ce qu'elle a dit à propos de où va l'écriture de chanson.
Ally Willis: Where millions of collaborators wanted the song, because to look at them strictly as spam is missing what this medium is about.
Ally Willis : Nous sommes des millions de collaborateurs qui veulent la chanson, parce que les regarder comme des spams c'est manquer complètement la raison d'être de ce médium.
PH: So, to wrap up, I'd love to throw it back to Marshall McLuhan, who, 40 years ago, was dealing with audiences that were going through just as much change, and I think that, today, traditional Hollywood and the writers are framing this perhaps in the way that it was being framed before. But I don't need to tell you this, let's throw it back to him.
PH : Alors, pour conclure, j'aimerais redonner la parole à Marshall MacLuhan, qui, il y a 40 ans, avait affaire à un public qui était en train de traverser au moins autant de changement, et je pense que le Hollywood traditionnel d'aujourd'hui, et les auteurs sont peut être en train de cadrer cela a été cadré avant. Mais je n'ai pas besoin de vous dire cela, laissons lui la parole.
(Video) Narrator: We are in the middle of a tremendous clash between the old and the new. MM: The medium does things to people and they are always completely unaware of this. They don't really notice the new medium that is wrapping them up. They think of the old medium, because the old medium is always the content of the new medium, as movies tend to be the content of TV, and as books used to be the content, novels used to be the content of movies. And so every time a new medium arrives, the old medium is the content, and it is highly observable, highly noticeable, but the real, real roughing up and massaging is done by the new medium, and it is ignored.
Vidéo : Nous sommes au beau milieu d'un immense conflit entre l'ancien et le nouveau. Le média fait des choses aux gens dont ils ne sont toujours absolument pas conscients. Ils ne réalisent pas vraiment que le nouveau média les roule dans la farine. Ils pensent au vieux média parce que le vieux média est toujours le contenu du nouveau médium, comme les films ont tendance à être le contenu de la télévision, et comme les livres étaient le contenu, les nouvelles étaient le contenu des films. Et alors à chaque fois qu'un nouveau média arrive, le vieux média est le contenu, et c'est très facilement observable, facile à remarquer, mais le vrai passage à tabac et massage est fait par le nouveau média, et c'est, c'est ignoré.
PH: I think it's a great time of enthrallment. There's been more raw DNA of communications and media thrown out there. Content is moving from shows to particles that are batted back and forth, and part of social communications, and I think this is going to be a time of great renaissance and opportunity. And whereas television may have gotten beat up, what's getting built is a really exciting new form of communication, and we kind of have the merger of the two industries and a new way of thinking to look at it.
PH : Je pense que c'est une fantastique période d'enchantement. Il y a eu plus d'ADN brut de communication et de média lancés sur le marché. Le contenu est en train de passer d'émissions à des particules qui sont renvoyées d'un coté à l'autre, et font partie des communications sociales, et je pense que cela va être une période de grande renaissance et d'opportunité. Et alors que la télévision a peut être reçu une raclée, ce que est vraiment en train de se construire est une exitante nouvelle forme de communication, et nous devons en quelque sorte faire fusionner les deux industries et trouver une nouvelle façon de la voir.
Thanks very much.
Merci beaucoup.