Some of my most wonderful memories of childhood are of spending time with my grandmother, Mamar, in our four-family home in Brooklyn, New York. Her apartment was an oasis. It was a place where I could sneak a cup of coffee, which was really warm milk with just a touch of caffeine. She loved life. And although she worked in a factory, she saved her pennies and she traveled to Europe. And I remember poring over those pictures with her and then dancing with her to her favorite music.
Quelques uns de mes plus beaux souvenirs d'enfance sont ceux où j'étais avec ma grand-mère, Mamar, dans notre maison à Brooklyn dans New York. Son appartement était un oasis. C'était un lieu où je pouvais discrètement faire une tasse de café qui était en fait du lait chaud avec une pincée de caféine. Elle aimait la vie. Bien qu'elle ait travaillé dans une usine, elle a fait des économies et a voyagé en Europe. Je me souviens avoir regarder longuement ces photos avec elle et danser ensuite avec elle sur sa musique préférée.
And then, when I was eight and she was 60, something changed. She no longer worked or traveled. She no longer danced. There were no more coffee times. My mother missed work and took her to doctors who couldn't make a diagnosis. And my father, who worked at night, would spend every afternoon with her, just to make sure she ate.
Et puis, lorsque j'ai eu huit ans, et elle soixante, quelque chose a changé. Elle n'a plus travaillé, ni voyagé. Elle n'a plus dansé. Il n'y a plus eu de pauses café. Ma mère s'absentait du travail et l'amenait chez des médecins qui n'arrivaient pas à établir un diagnostic. Mon père, qui travaillait de nuit, passait tous ses après-midis avec elle, pour être sûr qu'elle mangeait.
Her care became all-consuming for our family. And by the time a diagnosis was made, she was in a deep spiral.
Ses soins commençaient à prendre tout le temps de notre famille. Au moment où on a pu faire un diagnostic, elle était entrée dans une profonde spirale.
Now many of you will recognize her symptoms. My grandmother had depression. A deep, life-altering depression, from which she never recovered. And back then, so little was known about depression.
Maintenant, beaucoup d'entre vous pourraient reconnaître ses symptômes. Ma grand-mère faisait une dépression. Une dépression profonde, qui a changé le cours de sa vie, dont elle ne s'est jamais remise. A cette époque, on connaissait très mal la dépression.
But even today, 50 years later, there's still so much more to learn. Today, we know that women are 70 percent more likely to experience depression over their lifetimes compared with men. And even with this high prevalence, women are misdiagnosed between 30 and 50 percent of the time.
Mais même aujourd'hui, 50 ans après, on a encore tellement à apprendre. On sait aujourd'hui que les femmes sont 70 pour cent plus susceptibles de connaître une dépression dans leurs vies par rapport aux hommes. Même avec cette forte prédominance, les femmes sont mal diagnostiquées entre 30 et 50 pour cent des fois.
Now we know that women are more likely to experience the symptoms of fatigue, sleep disturbance, pain and anxiety compared with men. And these symptoms are often overlooked as symptoms of depression.
Nous savons aujourd'hui que les femmes sont plus susceptibles de subir les symptômes de fatigue, de troubles du sommeil, de douleur et d'anxiété que les hommes. Souvent, ces symptômes ne sont pas pris en compte comme les symptômes d'une dépression.
And it isn't only depression in which these sex differences occur, but they occur across so many diseases.
Ce n'est pas seulement dans la dépression que l'on trouve ces différences de sexe, il y en a aussi dans bien d'autres maladies.
So it's my grandmother's struggles that have really led me on a lifelong quest. And today, I lead a center in which the mission is to discover why these sex differences occur and to use that knowledge to improve the health of women.
C'est la bataille de ma grand-mère qui m'a menée vers cette quête de toute une vie. Aujourd'hui, je dirige un centre dont la mission est de découvrir pourquoi il y a ces différences de sexe et d'utiliser ces connaissances afin d'améliorer la santé des femmes.
Today, we know that every cell has a sex. Now, that's a term coined by the Institute of Medicine. And what it means is that men and women are different down to the cellular and molecular levels. It means that we're different across all of our organs. From our brains to our hearts, our lungs, our joints.
Nous savons aujourd'hui que chaque cellule a un sexe. C'est une expression définie par l'Institut de Médecine. Ce qu'elle signifie, c'est que les hommes et les femmes sont différents jusqu'aux niveaux cellulaires et moléculaires. Ça signifie que nous sommes différents à travers tous nos organes. De nos cerveaux à nos cœurs, nos poumons, nos articulations.
Now, it was only 20 years ago that we hardly had any data on women's health beyond our reproductive functions. But then in 1993, the NIH Revitalization Act was signed into law. And what this law did was it mandated that women and minorities be included in clinical trials that were funded by the National Institutes of Health. And in many ways, the law has worked. Women are now routinely included in clinical studies, and we've learned that there are major differences in the ways that women and men experience disease. But remarkably, what we have learned about these differences is often overlooked.
Il y a seulement 20 ans, nous n'avions quasiment aucune information sur la santé des femmes au-delà de nos fonctions reproductrices. Mais en 1993, l'Acte de Revitalisation du NIH a été promulgué en tant que loi. Cette loi a rendu obligatoire le fait que les femmes et les minorités soient incluses dans les études cliniques menées par les Instituts Nationaux de Santé. De bien des façons, cette loi a été efficace. Les femmes sont désormais systématiquement incluses dans les études cliniques, et nous avons appris qu'il y a d'importantes différences dans la manière dont les femmes et les hommes vivent une maladie. De façon remarquable, ce que nous avons appris sur ces différences est souvent négligé.
So, we have to ask ourselves the question: Why leave women's health to chance? And we're leaving it to chance in two ways. The first is that there is so much more to learn and we're not making the investment in fully understanding the extent of these sex differences. And the second is that we aren't taking what we have learned, and routinely applying it in clinical care. We are just not doing enough.
Nous devons donc nous demander : Pourquoi laisser la santé des femmes au hasard ? Nous la laissons au hasard de deux manières. Premièrement, il y a encore tellement à apprendre et on n'investit pas assez pour comprendre pleinement l'étendue de ces différences de sexe. Deuxièmement, nous ne prenons pas ce que nous avons appris, pour l'appliquer systématiquement dans les soins cliniques. En fait, nous ne faisons pas assez.
So, I'm going to share with you three examples of where sex differences have impacted the health of women, and where we need to do more.
Je vais partager avec vous trois exemples où les différences de sexe ont affecté la santé des femmes et où nous devons faire plus.
Let's start with heart disease. It's the number one killer of women in the United States today. This is the face of heart disease. Linda is a middle-aged woman, who had a stent placed in one of the arteries going to her heart. When she had recurring symptoms she went back to her doctor. Her doctor did the gold standard test: a cardiac catheterization. It showed no blockages. Linda's symptoms continued. She had to stop working. And that's when she found us. When Linda came to us, we did another cardiac catheterization and this time, we found clues. But we needed another test to make the diagnosis. So we did a test called an intracoronary ultrasound, where you use soundwaves to look at the artery from the inside out.
Commençons par les maladies cardiaques. C'est la cause de décès numéro un chez les femmes aux Etats-Unis, aujourd'hui. Voici le visage de la maladie cardiaque. Linda est une femme d'un certain âge à qui on a posé une endoprothèse dans l'une de ses artères vers son cœur. Quand a elle a eu des symptômes récurrents, elle est retournée voir son médecin. Son médecin lui a fait passer le test de référence : le cathétérisme cardiaque Ça n'a montré aucune obstruction. Les symptômes de Linda ont persisté. Elle a dû s'arrêter de travailler. Et c'est là qu'elle nous a trouvés. Lorsque Linda est venue nous voir, nous lui avons fait un autre cathétérisme cardiaque. Et cette fois, nous avons trouvé des pistes. Mais on avait besoin de faire un autre test pour faire un diagnostic. On a donc fait un test qui s'appelle l'échographie endocoronaire, où on utilise des ondes acoustiques pour observer l'artère de l'interieur.
And what we found was that Linda's disease didn't look like the typical male disease. The typical male disease looks like this. There's a discrete blockage or stenosis. Linda's disease, like the disease of so many women, looks like this. The plaque is laid down more evenly, more diffusely along the artery, and it's harder to see. So for Linda, and for so many women, the gold standard test wasn't gold.
Ce que nous avons trouvé, c'est que la maladie de Linda ne ressemblait pas à la maladie classique d'un homme. La maladie classique d'un homme ressemble à ça. Il y a une obstruction ou une sténose distincte. La maladie de Linda, comme la maladie chez bien des femmes, ressemble à ça. La plaque est ancrée de façon plus homogène, plus dispersée, sur l'artère, et elle est plus difficile à voir. Pour Linda, et pour bien des femmes, le test de référence n'était pas celui qu'il fallait.
Now, Linda received the right treatment. She went back to her life and, fortunately, today she is doing well. But Linda was lucky. She found us, we found her disease.
Désormais, Linda reçoit le bon traitement. Elle a repris sa vie, et heureusement aujourd'hui, elle va bien. Mais Linda a eu de la chance. Elle nous a trouvés, nous avons trouvé sa maladie.
But for too many women, that's not the case. We have the tools. We have the technology to make the diagnosis. But it's all too often that these sex diffferences are overlooked.
Mais pour de trop nombreuses femmes, ce n'est pas le cas. Nous avons les outils. Nous avons la technologie pour établir les diagnostics. Mais trop souvent, ces différences de sexe sont ignorées.
So what about treatment? A landmark study that was published two years ago asked the very important question: What are the most effective treatments for heart disease in women? The authors looked at papers written over a 10-year period, and hundreds had to be thrown out. And what they found out was that of those that were tossed out, 65 percent were excluded because even though women were included in the studies, the analysis didn't differentiate between women and men. What a lost opportunity. The money had been spent and we didn't learn how women fared. And these studies could not contribute one iota to the very, very important question, what are the most effective treatments for heart disease in women?
Qu'en est-il du traitement ? Une étude sans précédent publiée il y a deux ans a posé une question très importante : Quels sont les traitements les plus efficaces contre les maladies cardiaques chez les femmes ? Les auteurs ont lu des documents rédigés sur une période de 10 ans, et des centaines ont dû être rejetées. Ce qu'ils ont trouvé, c'est que parmi ceux qui avaient été rejetés, 65 pour cent avaient été exclus car, bien que des femmes étaient comprises dans les études, l'analyse ne distinguait pas les femmes et les hommes. Quel gâchis. On avait dépensé de l'argent et nous ne savions pas pourquoi les femmes s'en sortaient. Ces études n'ont absolument pas contribué à cette question très, très importante : quels sont les traitements les plus efficaces
I want to introduce you to Hortense, my godmother, Hung Wei, a relative of a colleague, and somebody you may recognize -- Dana, Christopher Reeve's wife. All three women have something very important in common. All three were diagnosed with lung cancer, the number one cancer killer of women in the United States today. All three were nonsmokers. Sadly, Dana and Hung Wei died of their disease. Today, what we know is that women who are nonsmokers are three times more likely to be diagnosed with lung cancer than are men who are nonsmokers. Now interestingly, when women are diagnosed with lung cancer, their survival tends to be better than that of men. Now, here are some clues. Our investigators have found that there are certain genes in the lung tumor cells of both women and men. And these genes are activated mainly by estrogen. And when these genes are over-expressed, it's associated with improved survival only in young women. Now this is a very early finding and we don't yet know whether it has relevance to clinical care. But it's findings like this that may provide hope and may provide an opportunity to save lives of both women and men.
contre les maladies cardiaques chez les femmes ? Je veux vous présenter Hortense, ma marraine, Hung Wei, une proche d'un collègue, et quelqu'un que vous allez peut-être reconnaître -- Dana, l'épouse de Christopher Reeve. Ces trois femmes ont en commun quelque chose de très important. On a diagnostiqué à toutes les trois un cancer du poumon, le cancer le plus mortel chez les femmes aux Etats-Unis aujourd'hui. Aucune des trois n'était fumeuse. Malheureusement, Dana et Hung Wei ont succombé à leur maladie. Ce que nous savons aujourd'hui, c'est que les femmes non-fumeuses sont trois fois plus susceptibles d'avoir un cancer du poumon que les hommes non-fumeurs. Fait intéressant, lorsqu'on diagnostique un cancer du poumon chez les femmes, leur survie a tendance à être meilleure que celle des hommes. Voici quelques pistes. Nos chercheurs ont trouvé qu'il y a certains gènes dans les cellules cancéreuses du poumon chez les hommes et les femmes. Ces gènes sont activés principalement par l’œstrogène. Quand ces gènes sont suractivés, il y a un lien avec une survie améliorée seulement chez les jeunes femmes. Voilà une découverte très ancienne et on ne sait toujours pas si elle a un intérêt pour les soins cliniques. Mais ce sont des découvertes comme ça qui peuvent donner de l'espoir et qui peuvent représenter une occasion de sauver les vies à la fois de femmes et d'hommes.
Now, let me share with you an example of when we do consider sex differences, it can drive the science. Several years ago a new lung cancer drug was being evaluated, and when the authors looked at whose tumors shrank, they found that 82 percent were women. This led them to ask the question: Well, why? And what they found was that the genetic mutations that the drug targeted were far more common in women. And what this has led to is a more personalized approach to the treatment of lung cancer that also includes sex.
Je vais partager avec vous un exemple des cas qui, lorsqu'on tient compte des différences de sexe, font évoluer la science. Il y a plusieurs années, un nouveau médicament contre le cancer du poumon a été évalué, et lorsque les auteurs regardaient à qui appartenaient les tumeurs qui diminuaient, ils ont observé que 82 pour cent étaient des femmes. Ils se sont donc posé la question : Eh bien, pourquoi ? Ce qu'ils ont trouvé, c'est que les mutations génétiques que visaient les médicaments étaient bien plus fréquentes chez les femmes. Et ça a conduit à une approche plus personnalisée du traitement du cancer du poumon qui comprend aussi le sexe.
This is what we can accomplish when we don't leave women's health to chance. We know that when you invest in research, you get results. Take a look at the death rate from breast cancer over time. And now take a look at the death rates from lung cancer in women over time. Now let's look at the dollars invested in breast cancer -- these are the dollars invested per death -- and the dollars invested in lung cancer. Now, it's clear that our investment in breast cancer has produced results. They may not be fast enough, but it has produced results. We can do the same for lung cancer and for every other disease.
C'est ce qu'on peut faire quand on ne laisse pas la santé des femmes au hasard. On sait que lorsqu'on investit dans la recherche, on obtient des résultats. Regardez le taux de mortalité du cancer du sein au cours du temps. Et maintenant regardez le taux de mortalité du cancer du poumon chez les femmes au cours du temps. Regardons maintenant les dollars investis dans le cancer du sein -- ce sont les dollars investis par mort -- et les dollars investis dans le cancer du poumon. Il est évident que notre investissement dans le cancer du sein a produit des résultats. Ils ne sont peut-être pas assez rapides, mais ça a produit des résultats. On peut faire de même pour le cancer du poumon et pour toutes les autres maladies.
So let's go back to depression. Depression is the number one cause of disability in women in the world today. Our investigators have found that there are differences in the brains of women and men in the areas that are connected with mood. And when you put men and women in a functional MRI scanner -- that's the kind of scanner that shows how the brain is functioning when it's activated -- so you put them in the scanner and you expose them to stress. You can actually see the difference. And it's findings like this that we believe hold some of the clues for why we see these very significant sex differences in depression.
Revenons à la dépression. La dépression est la raison numéro un d'infirmité chez les femmes dans le monde, aujourd'hui. Nos chercheurs ont trouvé qu'il y a des différences dans les cerveaux des femmes et des hommes dans les zones liées à l'humeur. Quand on met des hommes et des femmes dans un scanner IRM fonctionnel -- le genre de scanner qui montre comment le cerveau fonctionne quand il est activé -- donc on les met dans un scanner et on les expose au stress. On voit bien la différence. Nous pensons que ce sont des découvertes comme celle-ci qui détiennent quelques pistes pour connaître la raison pour laquelle on observe des différences de sexe très importantes
But even though we know that these differences occur, 66 percent of the brain research that begins in animals is done in either male animals or animals in whom the sex is not identified.
dans la dépression. Bien que l'on sache que ces différences ont lieu, 66 pour cent de la recherche sur le cerveau qui démarre sur des animaux est faite soit sur des mâles,
So, I think we have to ask again the question: Why leave women's health to chance? And this is a question that haunts those of us in science and medicine who believe that we are on the verge of being able to dramatically improve the health of women. We know that every cell has a sex. We know that these differences are often overlooked. And therefore we know that women are not getting the full benefit of modern science and medicine today. We have the tools but we lack the collective will and momentum.
soit sur des animaux dont le sexe n'est pas identifié. Je pense qu'il faut nous reposer la question : Pourquoi laisser la santé des femmes au hasard ? C'est une question qui hante ceux parmi nous, dans la science et la médecine, qui croient que nous sommes sur le point d'être capables d'améliorer radicalement la santé des femmes. Nous savons que chaque cellule a un sexe. Nous savons que ces différences sont souvent ignorées. Et nous savons donc que les femmes ne tirent pas entièrement profit de la science et de la médecine moderne aujourd'hui. Nous avons les outils mais nous manquons de volonté collective et d'élan.
Women's health is an equal rights issue as important as equal pay. And it's an issue of the quality and the integrity of science and medicine. (Applause) So imagine the momentum we could achieve in advancing the health of women if we considered whether these sex differences were present at the very beginning of designing research. Or if we analyzed our data by sex.
La santé des femmes est une question d'égalité des droits aussi importante que l'égalité des salaires. Et c'est une question de qualité et d'intégrité de la science et de la médecine. (Applaudissements) Imaginons l'élan qu'on pourrait donner à l'amélioration de la santé des femmes si on se demandait si ces différences de sexe sont présentes au tout début de la préparation de la recherche. Ou si on analysait nos données par sexe.
So, people often ask me: What can I do? And here's what I suggest: First, I suggest that you think about women's health in the same way that you think and care about other causes that are important to you. And second, and equally as important, that as a woman, you have to ask your doctor and the doctors who are caring for those who you love: Is this disease or treatment different in women? Now, this is a profound question because the answer is likely yes, but your doctor may not know the answer, at least not yet. But if you ask the question, your doctor will very likely go looking for the answer. And this is so important, not only for ourselves, but for all of those whom we love. Whether it be a mother, a daughter, a sister, a friend or a grandmother.
On me demande souvent : que puis-je faire ? Je vous propose ceci : tout d'abord, je vous propose de réfléchir à la santé des femmes de la même manière dont vous pensez et dont vous vous préoccupez des autres causes qui vous sont chères. Ensuite, et tout aussi important, en tant que femme, il faut demander à votre médecin et aux médecins qui suivent ceux que vous aimez : Est-ce que cette maladie ou ce traitement est différent chez les femmes ? C'est une question profonde car la réponse est certainement oui, mais votre médecin ne sait peut-être pas la réponse, ou pas encore, tout du moins. Mais si vous posez la question, il est très probable que votre médecin ira chercher la réponse. C'est très important, pas uniquement pour nous-mêmes, mais pour tous ceux que nous aimons. Que ce soit une mère, une fille, une sœur,
It was my grandmother's suffering that inspired my work to improve the health of women. That's her legacy. Our legacy can be to improve the health of women for this generation and for generations to come.
une amie ou une grand-mère. C'est la souffrance de ma grand-mère qui a inspiré mon travail pour améliorer la santé des femmes. C'est son héritage. Notre héritage peut être d'améliorer la santé des femmes de cette génération
Thank you. (Applause)
et des générations futures. Merci.