I have one of the biggest honors that I think any politician could have, in that I was elected the mayor of the place in which I was born and brought up. So that's Bristol in the UK.
Je jouis d’un des plus grands honneurs que je puisse possiblement avoir, d’avoir été élu maire de la ville où je suis né et où j’ai grandi. Voici Bristol, en Angleterre.
Well, thank you.
Merci.
(Applause)
(Applaudissements)
And it's a big job. From education to housing, to budgets to trash collection to protests to counterprotests, cities are complicated organisms. They can be tumultuous, and they can be full of contradiction. And as the mayor, I am the accountable person within Bristol. The buck stops with me. And that sometimes is even for issues over which I have very little real control or power. And that's fine. That's life.
C’est une lourde tâche. L’éducation, le logement, les budgets, la collecte des déchets, les manifestations et contre-manifestations. Les villes sont des organismes complexes. Elles peuvent être tumultueuses et pleines de contradictions. En tant que maire, je suis la personne responsable de Bristol. Il n’y a personne à qui refiler le bébé. Et cela, même pour des sujets sur lequel j’ai finalement peu ou pas de contrôle. Mais c’est bien ainsi. C’est la vie.
But I have another constituency to whom I'm accountable, and that's one that is within my city, but reaches beyond my city boundaries. And that's the planet and the 7.9 billion other people who depend on it for their survival. We've got ourselves into a situation where it would take 1.7 Earths for our current way of living to be sustainable. So something's got to give. And I think we all know we ain't getting any more Earths, right? So inevitably it's us who need to change. And as we look around and listen in on the international negotiations, as we look at national inaction too often, there'll be many people wondering how we're going to take this challenge on. And even if we're going to be successful. And I understand it, so many people around the world will be losing hope. But my message today is there is hope, and it’s hiding in plain sight. And I believe there's huge hope in our cities.
J’ai aussi une autre circonscription à laquelle rendre des comptes, dans les murs de ma ville, mais dont les frontières la dépassent. C’est la planète et les 7,9 milliards de personnes qui en dépendent pour leur survie. Nous nous sommes mis dans une situation où nous avons besoin de 1,7 Terres pour soutenir notre mode de vie actuel. Quelque chose doit changer. Et nous savons que nous n’avons pas plusieurs Terres, n’est-ce pas ? Donc, c’est forcément nous qui devons changer. Quand on observe et écoute les négociations internationales et à la trop fréquente inaction nationale, nous sommes nombreux à nous demander comment relever ce défi et à nous demander même si nous allons réussir. Et je comprends cela, tant de personnes dans le monde perdent tout espoir. Mais je suis venu vous dire qu’il y a de l’espoir et qu’il est sous notre nez. Je suis convaincu que nos villes fourmillent d’un espoir immense.
So consider these four numbers. Three, 55, 75, 80.
Prenez ces quatre chiffres. Trois, 55, 75, 80.
Cities occupy less than three percent of the Earth's land surface. So we have a small geographical footprint. In fact, if you put all the cities of the world together, you could fit them into India.
Les villes occupent moins que 3 % de la surface terrestre de la Terre. Notre empreinte géographique est dont petite. Si on collait les villes les unes contre les autres, l’Inde pourrait les contenir.
And yet cities are home to over half, 55 percent, of the world's population. And we anticipate that will grow to two thirds by the middle of this century.
Pourtant, les villes abritent plus de la moitié - 55 % - de la population mondiale. Selon les prévisions, deux tiers de la population seront des citadins d’ici la moitié du siècle.
Cities are responsible for around 75 percent of CO2 emissions. And we're also prodigious emitters of nitrogen dioxide and methane.
Les villes sont responsables d’environ 75 % des émissions de CO2. Nous sommes aussi de prodigieux émetteurs de dioxyde d’azote et de méthane.
And cities consume 80 percent of the world's energy.
Enfin, les villes consomment 80 % de l’énergie mondiale.
But think about this. That it’s the characteristics of cities -- their reach, their size, their density, close proximity of the leadership to the people, their adaptability and their capacity for reinvention -- that mean that we can actually plan to manage those numbers. That means through our cities, we can actually plan to do more, for more people, with less. And it's why I say cities are one of the most effective tools we have at our disposal for leveraging efficiency into our relationships with land, energy and waste.
Mais réfléchissez un moment au fait que ce sont les caractéristiques des villes, leur étendue, leur dimension, leur densité, la proximité étroite de leurs dirigeants avec les citoyens, leur flexibilité et leur capacité à se réinventer, qui font que nous pouvons prévoir de gérer ces chiffres. Dès lors, à travers nos villes, il est possible de planifier pour faire davantage, pour plus de gens, avec moins. Voilà pourquoi je pense que les villes sont un des moyens les plus optimaux à notre disposition pour mobiliser plus d’efficacité dans notre relation avec la terre, l’énergie et les déchets.
Through our cities, we can increase the efficiency of more human lives more quickly than through any other form of human organization. So we can, for example, house and employ more people on less land, minimizing the pressure on urban sprawl which competes then for land, for nature, while minimizing the distances people have to travel to meet their basic needs. Through cities, we can have people sharing energy by sharing buildings and through smart innovations like heat networks. The density in our cities makes public transport more accessible and more cost-effective. And through our cities, we can transform our relationship with energy. We need energy security right now. But cities offer markets of such scale that they make investing in renewables more financially attractive. And think about the opportunities with waste. We can leverage efficiency into the collection and processing of waste while introducing the principles of the circular economy at scale so that resources are recycled, goods are reused and unavoidable waste is processed for energy, for example, food waste for fertilizer. Now just think about the global potential of a worldwide network of cities scaling up these kinds of efficiencies for over half and coming on two thirds of the world's population.
À travers nos villes, on peut améliorer l’efficacité de pour plus de vies humaines plus vite que via toute autre forme d’organisation humaine. Par exemple, nous pouvons abriter et employer plus de personnes sur moins de surface terrestre, minimisant ainsi la pression de l’urbanisation en compétition avec la terre et la nature, tout en minimisant les distances à parcourir pour assouvir les besoins fondamentaux. Dans les villes, on peut partager l’énergie en partageant des bâtiments grâce à des innovations intelligentes comme les réseaux de chaleur. La densité urbaine rend le transport public plus accessible à moindre prix. De plus, avec nos villes, nous pouvons transformer notre relation avec l’énergie. Aujourd’hui, nous avons besoin de sécurité énergétique. Or les villes offrent des marchés d’une telle ampleur qu’elles rendent les investissements en énergie renouvelable plus attrayantes. Pensez aussi aux opportunités liées aux déchets. On peut optimiser la collecte et le traitement des déchets tout en introduisant des principes d’économie circulaire à l’échelle afin de recycler les ressources, de réutiliser les biens et de traiter les déchets inévitables pour en faire de l’énergie, par exemple, faire des engrais avec les déchets alimentaires. Pensez au potentiel mondial d’un réseau mondial de villes qui monteraient en échelle leur efficience pour la moitié et bientôt deux tiers de la population mondiale.
And here is the hope I mentioned at the beginning. You don't have to just imagine that. From Freetown to Los Angeles, from Kampala to London, and in many, many cities in between, mayors, city leaders are stepping up and taking action to meet the challenge of the moment. So take Malmö, a city of just under 350,000 people. They’ve developed a heat network that is fed by heat generated by processed waste. They intend to be 100 percent powered by renewable or recycled heat by 2030. Oslo is a city that's subsidizing electric vehicles and charging points. They have introduced a circular waste management system. They've purchased a biogas plant, and nearly 50 percent of all their food waste is recycled.
Voici donc mon espoir : Aucune raison pour que ça reste du domaine du rêve. De Freetown à Los Angeles, de Kampala à Londres, et toutes les villes ailleurs, les maires et les dirigeants des villes sont montés au front et agissent pour vaincre les défis actuels. Malmö, par exemple, est une ville d’un peu moins que 350 000 habitants. Ils ont développé un réseau de chaleur alimenté par la chaleur générée par le traitement des déchets. Ils ont l’intention d’avoir une énergie renouvelable à 100 % ou recyclée d’ici 2030. Oslo subventionne les véhicules électriques et les points de recharge. Ils ont introduit un système de gestion circulaire des déchets. Ils ont acquis une centrale de biométhanisation où ils recyclent presque 50 % de leurs déchets alimentaires.
(Applause)
(Applaudissements)
Singapore is one of the densest cities in the world, but they are a model of green planning. In recent years, they've introduced huge freshwater reserves and urban gardens that act as the lungs of the city. And I have a huge amount of admiration for Bogota as well, one of the densest cities in Latin America. They've introduced the bus rapid transit system. They're making walking and cycling more accessible, and today, have one of the largest fleets of electric buses in Latin America.
Singapour est une des villes les plus denses au monde, mais ils nous montrent le chemin en matière de planification durable. Ces dernières années, ils ont créé d’immenses réserves d’eau fraîche et des parcs urbains qui agissent comme les poumons de la ville. Je nourris aussi beaucoup d’admiration pour Bogota, une des villes les plus denses en Amérique latine. Ils ont mis en place un système de transit rapide en bus. Ils rendent la marche et le vélo plus facile et gèrent la plus grande flotte de bus électriques de l’Amérique latine.
And while I have the stage, let me show off a little bit about my own city, Bristol, home to 465,901 people, one of whom is here today. We have a fantastic reputation for being one of the greenest cities in Europe. In Bristol, we have a housing crisis. We must build homes. But we're very conscious of the fact that the kind of homes we build and where we build them will be one of the biggest determinants of the price the planet pays for our growth. So we're focused on delivering net-zero homes at higher density on old industrial land in the middle of the city. This allows us to relieve the pressure for urban sprawl. It allows us to design in active travel and design out car dependency. We're even taking action on the climate consequences of the humble toilet. Across our public housing stock, we are replacing bathrooms and we're taking the opportunity to replace the fittings with more water-efficient alternatives, more water-efficient showers, sinks and taps, and more water-efficient toilets. So not all climate change action is full of glamour, is it?
Puisque je suis sur scène, j’aimerais vous parler de ma ville, Bristol. Elle abrite 465 901 citoyens et un est ici aujourd’hui. Notre réputation est fantastique en tant qu’une des villes les plus vertes d’Europe. Nous avons une crise du logement et nous devons construire des habitations. Mais nous sommes très conscients que le type de maisons que nous construisons et où nous les construisons font partie des éléments les plus décisifs sur le prix que notre planète paie pour notre croissance. Nous veillons exclusivement à construire des maisons passives de haute densité, sur d’anciennes friches industrielles au centre de la ville. Ainsi, nous soulageons la pression liée à la croissance urbaine. Nous pouvons concevoir des parcours de mobilité active et éliminer toute dépendance à la voiture. Nous avons même des mesures pour gérer les conséquences sur le climat de nos lieux d’aisance. Dans tout notre parc immobilier, nous rénovons les toilettes et nous en profitons pour remplacer la plomberie avec des alternatives moins consommatrices en eau, les douches, les éviers, les robinets et les toilettes. Certes, toutes nos actions en faveur du climat ne sont pas glamour.
But we mayors are not just focused on what happens inside our city boundaries. You'll find mayors all over the world are leading beyond their authority. They're coming together in international networks to set hard target for decarbonization to which they hold themselves mutually accountable. You'll find hundreds of these city solidarity networks live in the world right now. The Global Covenant of Mayors for Climate and Energy is a network of around 12,000 cities. They've made a collective commitment to take action to ensure that 2030 emissions are nearly two gigatons lower than they would otherwise be if we carried on as we are. And as mayors, we're also stepping up to influence international organizations and the global policy that can support us to take action. The C40 is a network of nearly 100 mayors representing the world's biggest global cities. City diplomacy is central to their work. Members attend national and international negotiations with the aim of influencing decision making and global commitments.
Mais nous, les maires, ne sommes pas uniquement concentrés sur ce qu’il se passe à l’intérieur de nos villes. De nombreux maires dans le monde ont une vision au-delà de leur zone d’autorité et se réunissent en réseaux internationaux pour fixer des objectifs de décarbonation pour lesquels ils se considèrent mutuellement responsables. Il y a des centaines de tels réseaux solidaires entre les villes dans le monde, actuellement. La Convention mondiale des maires pour le climat et l’énergie est un réseau d’environ 12 000 villes. Ils se sont engagés collectivement à agir pour réduire les émissions en 2030 de presque 2 milliards de tonnes par an par rapport à ce qu’aurait été l’ancienne trajectoire. Et en tant que maires, nous agissons pour influencer les organisations internationales et leurs politiques mondiales afin qu’ils encouragent notre action. C40 est un réseau de 100 maires environ qui dirigent les plus grandes villes au monde. La diplomatie urbaine est au cœur de leur travail. Les membres participent aux négociations nationales et internationales pour influencer les décisions et rendre possible des engagements mondiaux.
And let me just say, what you get with mayors is a commitment to ensure that these global commitments are turned from words into actions. Our proximity to our residents means that we are immediately accountable for delivering change that people can see and experience.
J’ajouterai également que quand un maire s’engage, il veille à ce que les engagements mondiaux se transforment en actions. Notre proximité avec nos citoyens fait que nous devons directement rendre des comptes sur un changement tangible que nos citoyens peuvent voir et reconnaître.
But herein we bump into another challenge. We will not get the worldwide network of efficient cities that we need without major investment. We will not get a worldwide network of decarbonized cities just because we need it, we want it or because we make flowery declarations about it. We will only get them when we plan it and then pay for it. In the end, city leaders around the world struggle to get access to the kind of finance they need to unlock their city's full potential. And yet, here, too, we're not waiting around. In the UK, I'm part of something called the UK Cities Climate Investment Commission. It's our aim to put the UK's biggest cities in touch with the finance they need for that potential to be released. We've identified 206 billion pound's worth of decarbonization opportunities across the UK, retrofitting, renewables, transition of fleet to electric. And we are making sure that public and private investors are aware of these opportunities across the UK.
Mais là se trouve un autre obstacle. On ne peut pas atteindre le réseau mondial de villes efficientes indispensable sans un investissement important. Nous n’aurons pas un réseau mondial de villes décarbonées parce que c’est ce qu’il faut, ce qu’on veut, ou parce qu’on a quelques envolées lyriques à ce sujet. On y arrive seulement si on les planifie et qu’on les finance. Or les dirigeants des villes dans le monde ont des difficultés à obtenir le type de financement nécessaire pour développer le potentiel de leur ville. Pour autant, on ne se tourne pas les pouces. En Angleterre, je fais partie de la Commission des villes pour les investissements dans le climat dont l’objectif est que les grandes villes du pays aient accès aux financements nécessaires pour développer leur potentiel. On a identifié 206 milliards de livres sterling en opportunités de décarbonation en Angleterre : modernisation, renouvelable, transition vers des flottes électriques. Et nous veillons à ce que les investisseurs publics et privés en prennent connaissance partout en Angleterre.
So here's the thing. Mayors, city leaders, we haven't got time for abstract debates or merely flowery declarations. Our populations want change today. They want change yesterday. The climate crisis we're in demands leadership. And mayors I meet around the world are stepping up into that space to meet the moment. We want and need national governments and international organizations to work with us, to back us, to support us. But we cannot wait for them. The world's top scientists tell us we've got ten years to turn this thing around. And because of a history of inaction, underperformance, turgidness in decision making, that means that right now we need to make some big bets and we need to make some big bets on interventions that will deliver change at scale and pace. And I think our cities give us good odds.
En réalité, les maires et dirigeants des villes n’ont pas le temps pour des débats stériles ou des grandes déclarations. Nos citoyens veulent un changement maintenant. Ils le voulaient pour hier. La crise du climat que nous traversons exige du leadership. Et tous les maires dans le monde que je rencontre s’engagent avec détermination pour tenter de la résoudre. Nous souhaitons et avons besoin que nos gouvernements et les organisations internationales travaillent avec nous, soient derrière nous et nous soutiennent. Mais nous n’avons pas le luxe de les attendre. Les plus grands scientifiques du monde disent que nous avons 10 ans pour enrayer la situation. Et à cause d’un passé fait d’inaction, de sous-performance, de prise de décision ampoulée, nous devons aujourd’hui miser gros, et nous devons faire le pari d’interventions d’envergure qui conduiront au changement à grande échelle et rapidement. Je pense que les villes sont notre meilleur espoir.
So here's my call to action. We need to work with the world's mayors to develop a global plan for cities. It's a plan that must decarbonize and build efficiency into existing cities, but to make sure that the future processes of urbanization maximize city efficiency. And when I say global, I do mean global. It's a plan that must transcend national boundaries. It must be in the Global North, and it must be in the Global South, where 90 percent of future urbanization is going to take place. And it's a plan that must have us move beyond our narrow self-national interest. We must come to see the world's cities as international assets rather than national possessions. We must come to see that investing in the increased efficiency of the world's cities is key to our future. It's going to be key to unlocking our potential. And it's an investment in our global common good.
Voici mon appel à l’action. Les maires du monde doivent travailler ensemble pour développer un plan urbain mondial pour décarboner et inclure l’efficacité dans les villes existantes et pour garantir que les processus futurs d’urbanisation maximiseront l’efficacité urbaine. Et pour moi, mondial signifie vraiment mondial. C’est un projet qui doit transcender les frontières nationales. Il doit inclure l’hémisphère nord, et l’hémisphère sud, où 90 % de l’urbanisation à venir aura lieu. Et un tel plan doit nous obliger à envisager les choses au-delà de notre simple intérêt national. Nous devons considérer les villes du monde comme des biens internationaux plutôt que des possessions nationales. Nous devons arriver à comprendre qu’investir dans une efficacité accrue des villes dans le monde est central à notre avenir. C’est la clé pour déployer notre potentiel. Et c’est un investissement dans notre bien commun mondial.
When I was elected mayor of Bristol in 2016, I had a limited appreciation of the global role of the city. And by extension, I had a limited appreciation of the level of responsibility that was therefore falling on my shoulders as a newly-elected mayor of a major UK city. In the years since, I've come to understand that cities, the way they are planned, the way they function, the way they grow and the way they innovate will be key to whether we are or are not successful in taking on this challenge to stem the tide of global climate change. If we can unlock the full potential of our cities, we can minimize the price the planet pays for hosting us in our growing numbers. I think efficient cities could be one of the most effective tools we have. So I ask you to work with us to build them.
Quand j’ai été élu maire de Bristol en 2016, ma compréhension du rôle mondial de ma ville était étroite. Et en conséquence, je nourrissais une vision limitée de niveau de responsabilité qui m’incombait désormais en tant que maire nouvellement élu de la ville de Bristol. Depuis lors, j’ai pris conscience que les villes, la façon dont elles sont planifiées et dont elles fonctionnent, la façon dont elles se développent et innovent, joueront un rôle central dans notre réussite ou pas face au défi d’endiguer le changement climatique mondial. Si nous pouvons libérer tout le potentiel de nos villes, nous pourrons minimiser le coût payé par la planète pour nous abriter en plus grand nombre. Je pense que les villes efficientes font partie de nos meilleurs moyens. Je vous propose donc de travailler ensemble pour les développer.
Thank you.
Merci.
(Applause)
(Applaudissements)