Une vie sans cons n’existe pas.
A l’échelle mondiale ou dans l’intimité, nous sommes cernés. Dans le meilleur des cas, ils nous font rire. Mais le plus souvent, ils nous fatiguent, nous mettent en colère, nous pourrissent l’existence. Leur connerie est un énorme gâchis. Est-ce vraiment une fatalité ? Peut-on les identifier, les guérir, les combattre ?
Attention : de même que la plus belle ruse du diable consiste, selon Baudelaire, à nous faire croire qu’il n’existe pas, le plus grand triomphe de la connerie serait de persuader ses adversaires qu’ils en sont épargnés.